Cela commence comme un vrai
Sherlock Holmes... Même si les personnages de
Maurice Leblanc, sont plus caricatural que ceux de
Conan Doyle... Après tout ce sont des carricatures pour laisser la part belle à son héros Arsène Lupin, qui forcément est le plus brillant de tous... Il est joint en Angleterre pour un vol à Paris... Là rien d'étonnant, après tout le personnage d'origine est souvent appelé sur le continent pour des affaires souvent restées secrètes, non publié par Watson... Et quand on a lu
Conan Doyle, on se rend compte surtout à quel point Wilson est bien fat.. Alors que le Dr Watson est quand même quelqu'un d'intelligent, même s'il n'a pas le brio du détective... Cependant l'on voit bien qu'une multitude de détail sont repris de l'oeuvre original... Excepté que Lupin, armée d'un incroyable réseau, c'est tout... Comme un Moriarty ... avec un Sholmès moins doué qu'un Holmes pour contrecarrer une surveillance via les mannequins, les déguisements et les fiacres.... Cependant Lupin sait tout et sait même que malgré ces menaces, le limier se lancera dans l'affaire, surtout si Arsène Lupin est dans le coup... et qu'un Sholmes est insensible aux charmes féminins qui lui demande d'abandonner... Tout cela pour un petit vol finalement sans importance... une lampe juive en cuivre... Evidemment le vol est plus conséquent qu'il en a l'air... Même si les personnages sont moins fouillé que dans les aventures comptées par
Conan Doyle, on prend un plaisir certain par la légèreté des écrits de
Maurice Leblanc... Sans compter que par contre, les intrigues sont souvent aussi complexe... Ce n'est pas dans l'intrigue que les fan de
Sherlock Holmes trouveront à redire dans cette caricature... surtout quand ils s'amusent comment moi des carricatures du cinéma... encore plus proche du personnage que ne l'est
Maurice Leblanc, tout simplement parce que Sholmes est plus imbus de ses succès, à une certaines fierté publique, que Holmes n'a pas... et que décidemment Wilson se comporte plus comme un admirateur sans talent, un fan que comme le collaborateur parfois maladroit mais actif, faisant de son mieux, le dénommé Watson, simplement passionné des talents de son ami jamais égalé... Une bonne satyre donc...