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Athéna (Charlie Morrighan) tome 1 sur 2
EAN : 978B0BGCJ1YK7
231 pages
(01/10/2022)
4.31/5   8 notes
Résumé :
Alors qu’elle souhaite simplement avoir une vie normale, Athéna va devoir retourner dans son coven, affronter sa mère, renouer avec ses pouvoirs, combattre un monstre et tenter de garder son secret caché…

Je mène une vie tout ce qu’il y a de plus humaine à Portland dans l’Oregon lorsque ma mère me contacte pour que je rentre à Shady Grove. Depuis que je me suis enfuie il y a deux ans, je n’y suis pas retournée et je n’ai pas utilisé mon don.
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique

La couverture
Tout à fait dans le style que j'aime, bon l'héroïne rousse avec sa mèche blanche (ça claque ! C'est pour ça que je laisse mes cheveux blanc pousser en paix… ou par flemme au choix) se démarque, les bois sombres en arrière-plan, bon allez on va se promener ?


Les personnages
Athéna, oui commençons par la plus belle (non je suis impartiale avec les rousses pourquoi ?). Suite à un incident qui lui cause encore des remords, Athéna est partie du jour au lendemain à Portland, abandonnant sa famille, son coven. Elle paraît assez insensible aux malheurs des autres et très focalisée sur ce qu'elle ressent elle, néanmoins, nous, lecteurs, pouvant noter tous les petits détails qu'elle garde en mémoire sur ces amies, alors oui, elle a du mal à se concentrer sur les autres vu de l'extérieur, mais je ne pense pas qu'elle soit égocentrique pour autant, elle est juste humaine, enfin sorcière ayant du mal à exprimer ses maux, avec une sensibilité accrue et un peu tête en l'air.

Jehanne, mère d'Athéna. Sa fille et elle se ressemblent plus qu'elles ne le pensent. Elles ont toute deux du mal à exprimer ce qu'elles ressentent. Elle est la Cheffe du Coven, son rêve a toujours été d'aider les sorcières, de les réunir sous son toit. Elle possède un don de glace qu'elle peine à gérer quand ces émotions la submerge.

Jiji, elle vit avec Athéna et sa mère depuis très longtemps. Elle possède la chaleur humaine communicative que Jehanne peine à exprimer, son don ? La guérison.

Séraphine, meilleure amie d'Athéna, elles ont grandi ensemble et elle semble très distante au retour d'Athéna, l'évitant tout le temps, l'abandon qu'elle a ressenti au départ de son amie l'a marqué.

Diane, nouvelle venue au Coven, elle n'était pas présente avant qu'Athéna ne parte. Son don est assez intrusif, même si elle ne le souhaite pas. Don d'intuition et de télépathie.

Akasha, don de projection, c'est une jeune femme forte arrivée également après le départ d'Athéna.

Bon ce ne sont pas les seules et de nouvelles têtes apparaissent au fil de l'histoire, mais je vous laisse les découvrir.


Mon avis
Débutons par l'histoire, Athéna a fui sa maison 2 ans auparavant, souhaitant vivre une autre vie que celle dans laquelle sa mère l'enfermait, même si il n'y a pas que cela qu'elle fuit. Un jour, elle reçoit un appel douloureux de sa mère l'intimant de revenir car un danger menace le Coven. Rendant les armes face aux pouvoirs du Coven bien décidé à ne pas la laisser tranquille, elle se rend donc à son ancienne vie. Sa maison a beau ne pas avoir changer, le Coven lui s'est vu s'agrandir et c'est à cause de la vision de Diane, une nouvelle venue, que Jehanne, mère d'Athéna, a décidé de rappeler sa fille à elles, la voyant au milieu de la « prémonition » de Diane.

Entre son retour qui ne se passe pas dans la chaleur et la joie, une étrange maladie qui touche les enfants de la ville et un monstre qui guette dans les bois de Shady Grove… autant dire qu'elle aurait préféré rester à Portland, bien que tout cela lui rappelle que malgré tout, le Coven fait partie de sa vie…

Les points positifs ?

Tout !!! Non je plaisante, la perfection n'existe que dans mon miroir… oh je suis à fond ce matin 😉

Athéna est une héroïne qui me touche. Hypersensible, elle peut passer pour égocentrique alors que c'est juste sa différence qui l'a rend eh bien, différente, néanmoins, on peut sentir cette petite flemme dans son coeur qui peine à gérer l'afflux d'émotions ce qui noie et manque de l'éteindre. Mais la petite flemme tient bon et brûle ardemment malgré le défi de ne pas se noyer dans les larmes d'Athéna… j'en deviens poétique.

Son style est LE style que je rêve d'adopter, un peu bohème, féminine et naturelle. Je veux ses robes, même si avouons-le je ne rentre certainement pas dedans.

Le Coven est imparfait, si si, on pourra dire ce qu'on veut, c'est pas comme à la télé hein ! Ses femmes ont toutes leurs passés qui les hante plus ou moins, elles gardent la tête hors de l'eau et vivent les unes pour les autres. Elles sont fortes ensemble et c'est le but d'un Coven, mais ce n'est pas pour cela que tout est parfait.

De nombreux sujets fort sont traités, l'orientation sexuelle entre autre, j'ai l'impression de voir de plus en plus d'histoire qui traitent de l'asexualité, ça se dit ça ? Enfin bref, les gens qui sont aromantique ou qui n'ont pas le sexe comme passion. On part d'homosexualité, avec une petite scénette entre filles assez hot, sans être vulgaire. enfin voilà, un sujet traité de manière secondaire, mais assez présent.

On va parler de dépression, d'hypersensibilité, d'automutilation, des relations conflictuelles entre les membres d'une famille ect

En gros, ce n'est pas juste un roman de sorcières qui déchirent tout pour se battre contre un ennemi Surnaturel, on a ce petit plus en plus.

Tout comme avec Rosethorne, je suis en adéquation avec le style de l'auteure. Je me fond facilement dans l'histoire, j'y coule et y nage avec plaisir, je frémis avec les personnages, j'ai cette impression d'être là, à leurs côtés sans être là, j'ai envie de secouer Jehanne (oui la mère me gave un peu), de serrer Séraphine dans mes bras, de toper dans la main d'Akasha, de taquiner Diane et de mettre un coup de pieds aux fesses d'Athéna, le tout en buvant une bonne tisane avec elles bien entendu !

En résumé, c'est un coup de coeur.

Les points négatifs ?

Eh oui, rien n'est parfait. L'autoédition est difficile alors c'est juste une remarque pour que vous, futur lecteur, n'alliez pas crier au scandale, vous aurez été prévenu ! Il reste quelques défauts de mise en page… franchement rien de méchant, un tiret quadratin qui manque par exemple, voilà ça ne gêne absolument pas à la lecture, la preuve, je ne me rappelle que du tiret alors que je sais que j'en ai vu d'autres mais je les ai aussi vite oublié tant j'étais à fond dans l'histoire.

Autre petit point négatif, que vous avez aussi dans le positif étrangement.

La pluralité de sujets et thèmes forts abordés même en secondaire peuvent faire un peu trop… après comme ils restent secondaires, ça n'est pas gênant à la lecture et on ne perd pas le fil de l'histoire pour autant, ils apportent un petit plus, des parenthèses qui sont nécessaires à la compréhension de la psychologie des personnages donc en gros c'est un défaut sans en être un.

Bon en conclusion, je dirais quelque chose qui risque de spoiler un peu sans spoiler, mais que vous ne pourrez comprendre totalement qu'en lisant. le petit chaperon me rappelle beaucoup, du moins c'est ce que j'avais en tête, la méchante reine dans Alice, retour au pays de la folie le jeu vidéo ! Je ne sais pas pourquoi, mais les deux univers se sont collés ensemble dans mon esprit et maintenant j'ai envie de jouer à la console XD même si je l'ai fini x fois ce jeu… je suis accro, à Athéna comme à Alice ahahahahahah
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J'ai en fin lu « Athéna », premier tome de « Les sorcières de Shady Grove »Shady Grove centré sur le personnage du même nom. Je découvre ainsi la plume de Charlie Morrighan et je ne compte pas m'arrêter à ce roman, car j'ai adoré cette première expérience.

Le roman se centre donc sur Athéna et c'est très logiquement qu'il est écrit à la première personne. Cette focalisation permet d'apprendre à connaître le personnage, le voir évoluer et à l'apprécier malgré ses défauts. On découvre également ses angoisses, son passé tourmenté, ses émotions, présentés de manière naturelle dans le récit.
Le roman débute d'ailleurs plutôt mal pour Athéna : ses amies la lâchent face à son comportement égocentré, comportement qu'elle n'assume pas, alors qu'elle est noyée sous des problèmes d'insomnies et de migraines. Mais, elle est aussi perturbée par un mauvais pressentiment, qu'elle prend très au sérieux, en tant que sorcière à l'intuition développée.
Les choses ne s'arrangent pas quand elle doit quitter Portland, son refuge depuis quelques années, pour rejoindre le Coven de Shady Grove, qu'elle a fuit, alors, sans se retourner. Sa mère l'appelle suite à la prémonition d'une sorcière du Coven qui ressent un danger imminent, se centrant sur sa personne.
De retour à Shady Grove, Athéna ne reçoit pourtant pas l'accueil auquel elle attendait, même si elle concevait bien quelques appréhensions. le Coven ne l'a pas attendu pour s'agrandir. Sa mère ne l'accueille pas vraiment les bras ouverts. Sa meilleure amie l'évite. de plus, les nouvelles sorcières se sentent comme chez elle, quand elle peine à reprendre ses repères. Elle s'y sent, non sans amertume, comme une étrangère.

Athéna va devoir se battre pour retrouver une place au sein de la maison de son enfance et ce ne sera pas chose facile. Si elle trouve des alliés auprès de Jiji, qui fut toujours présente pendant l'enfance, ainsi qu'auprès de Diane, nouvelle sorcière, douce empathique et bienveillante, elle doit faire face au conflit qu'à généré sa fuite. Elle est partie du jour au lendemain, sans prévenir quiconque et ce n'est pas sans conséquences. Elle va devoir admettre et assumer les bouleversements qu'elle a provoqué dans la vie des autres.
Il est clair qu'Athéna, hypersensible et à fleur de peau, ne prête pas vraiment attention à la portée de ses actions sur les autres. D'un autre côté, les sorcières du coven ne font pas toujours d'efforts pour la comprendre et se montrent même injustes. Sur ce point, ses relations avec sa mère sont particulièrement froides et tendues.
L'égocentrisme d'Athéna ne m'a pas gêné dans le récit, car elle apprend de ses erreurs et essaie de changer. Elle est confrontée à un passé pesant, à des événements qui la dépassent et un sentiment d'abandon justifié (au vu de son départ) mais douloureux. On s'attache à elle et j'ai éprouvé beaucoup d'empathie dans les scènes émotionnellement difficiles pour elle.
Dans ses relations, dans ce premier tome, Athéna fera une rencontre romantique décisive, mais qui ne prend pas le pas sur l'intrigue principale.

La présence de diversité (lgbtqia+) apportée par l'autrice est bien appréciable dans l'histoire.
Athéna est bisexuelle et s'intéresse dans ce tome à une autre femme.
Jiji de son côté, est aromantique et asexuelle. Elle explique, dans le récit, ce que cela implique dans sa vie. C'est amené avec naturel et pertinence, sans en faire trop et j'ai aimé la pudeur et la justesse de cette touche lgbt.
L'autrice aborde aussi les troubles psychologiques, les traumas et leurs conséquences. J'ai trouvé cet aspect du récit intéressant et apporté avec originalité. L'autrice laisse indéniablement parler son imagination et sa sensibilité dans les trames de l'intrigue.

Parlons à présent de magie ! Les socières du Coven ont des dons plus ou moins développés, crédibles et assez réalistes.
Le danger magique se matérialise par une brèche entre notre réalité et le paysage d'une réalité parallèle. de cette brèche s'échappent des vibrations et créatures mortifères. Les premières victimes sont des enfants plongés dans le coma, mais d'autres personnes vont bientôt être mortellement touché. le coven doit resserrer les rangs face à la menace, identifier cet élément magique déroutant et dangereux et trouver une solution. Cette magie se déverse de manière crédible et cohérente, sans éclats spectaculaires, avec un certain raffinement.

Le coven est bien désemparé malgré de puissantes sorcières en son sein. Il faut dire qu'Athéna détourne une part de leur attention. Et une nouvelle sorcière a été détectée... car avant tout la maison de Shady grove et son Coven accueille les sorcières pour les soutenir quand elles se trouvent en situation difficile ou ressentent le besoin d'être guidées. C'est un refuge où l'harmonie doit régner. Athéna représente un trouble malvenu, ce qui accroît les tensions au sein du groupe.

Le style du récit, vivant, naturel s'avère prenant dès les premières scènes. L'emploi de la première personne au présent favorise cette immersion. Des scènes détaillées et précises consolident ce sentiment de plongeon direct dans le récit. L'ensemble apporte une dynamique à une intrigue bien menée et des personnages bien caractérisés. On apprend à les connaître avec leurs défauts et qualités, qui les rends si humains. Si le surnaturel est bien présent l'aspect psychologique des personnages, dans leurs émotions, leur évolution et interactions, est, en effet, également bien travaillé.

En conclusion, j'ai vraiment eu un coup de coeur pour ce premier tome d'une série que je vous recommande chaudement. En plus, la couverture est magnifique, alors qu'attendez-vous pour le découvrir?
Je me demande si les tomes suivants concerneront encore Athéna ou si elle cédera sa place de perso principal à d'autres sorcières du Coven. Les deux me vont : hâte de pouvoir lire la suite et de retrouver chacune d'entre elles !
Lien : https://karinemalka.blogspot..
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Un roman ensorcelant !

Visions, tarot, potions, cristaux, plantes médicinales, incantations et rituels : plongez dans cet univers d'urban Fantasy où tous les aspects de la sorcellerie se mêlent ! Ce n'est pas seulement un système de magie, c'est tout une ambiance que nous propose Charlie Morrighan et que j'ai beaucoup appréciée !

Nous découvrons donc un coven de sorcières, ce qui fait que le groupe de personnages du livre est essentiellement féminin, et ce n'est pas pour me déplaire ! Chacune a son pouvoir, sa personnalité, ses forces, ses faiblesses et... ses secrets. J'ai beaucoup aimé l'aspect "rencontre" de ce livre et j'aurais aimé le voir encore plus développé et détaillé : c'est à ça que servent les suites, je suppose ^^

Mais parlons maintenant du personnage principal, celui avec lequel nous entrons dans l'histoire et par le point de vue duquel nous suivons toute l'intrigue. Athéna est ce que j'appellerai un personnage imparfait. Loin des modèles des héroïnes de Young Adult qui énervent par leur perfection, Athéna énerve par ses comportements parfois maladroits, voire carrément égoïstes. Cela fait-il d'elle une mauvaise personne ? Non, cela fait d'elle une personne, tout simplement. Elle fait des erreurs, les reconnait (plus ou moins tard et plus ou moins complètement), essaie d'apprendre et de s'améliorer. Ainsi, le livre regorge de leçons de vivre ensemble, de communication, de pardon, d'écoute des autres et de soi-même...
Oui, le personnage m'a donc parfois énervée, mais j'ai vraiment apprécié cet aspect du roman, qui nous fait suivre des femmes certes dotées de pouvoirs, mais humaines avant tout.

L'intrigue avance très vite : les personnages n'ont pas vraiment le temps de se poser, et nous non plus ! J'aurais aimé avoir plus de moments contemplatifs pour apprécier l'ambiance, découvrir de petits détails sur les personnages... Mais au moins, nous n'avons pas le temps de nous ennuyer ! Les péripéties et révélations s'enchainent, et se bousculent dans les dernières 50 pages, jusqu'au dénouement.

Puisque l'honnêteté exige de le mentionner, j'ai relevé quelques formulations erronées et quelques confusions dans le vocabulaire (il n'y a cependant pas beaucoup de coquilles). C'est dommage car tout ce travail sur l'univers et la construction de l'intrigue (et cette couverture incroyable !) auraient été davantage mis en valeur par quelques relectures et corrections (par un oeil humain) supplémentaires.

Ce fut donc une excellente lecture dans l'ensemble ! Une intrigue addictive, des personnages fouillés et de la magie : que demander de plus ? Je le recommande aux amateur.ices de sorcellerie en tout genre.
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Une couverture sublime, un résumé qui donne envie d'en savoir plus, et j'ai bien fait de vouloir le découvrir, c'est un urban fantasy vraiment captivant et addictif.

Athéna est une jeune femme qui a une particularité, elle est rousse, mais a une mèche blanche dans sa chevelure et on comprendra bien plus tard dans l'histoire, sa signification. C'est aussi une sorcière, qui à quitter son coven, deux ans auparavant pour vivre à Portland, un événement, c'est passé et elle a était obligé de partir à peine sortir du lycée, elle s'est enfuie en pleine nuit sans rien dire à personne.

Mais son passé la rattrape et sa mère veux qu'elle rentre, un danger approche, elle n'a pas d'autres choix que de retourner à Shady Grove. Elle appréhende beaucoup ses retrouvailles, elle ne sentait pas à sa place à l'époque, elle ne se comprend pas, son hypersensibilité lui joue aussi pas mal de tour et sa mère faut dire n'est pas douer avec les sentiments surtout avec sa fille.

Leur retrouvaille est vraiment électrique et les reproches pleuvent à peine retrouver, et quand elle apprend qu'elle n'utilise plus ses pouvoirs depuis sa fuite, ça ne va pas arranger les choses, pour sa mère elle gâche son potentiel, elle refoule qui elle est. Et sa meilleure amie ne l'accueille pas et la fuit, sans parler des nouveaux ajouts au Coven, sa mère a toujours voulu ouvrir un havre de paix à ses semblables et c'est ce qu'elle a fait pendant son absence, mais elle qui s'est toujours sentie à part se sent encore plus une étrangère dans sa propre maison. N'est-ce pas une erreur de revenir ?

Donc on aborde pas mal de thèmes intéressant au fil des pages entre mal-êtres, abandon, reconstruction, etc. Mais c'est aussi un tome introductif donc il y a encore beaucoup à découvrir.

En parallèle, un danger rôde, un petit garçon est retrouvé inconscient dans la cour d'école, il est dans le coma sans raison apparente. Que se passe-t-il vraiment ?

Nous voilà parti avec le coven pour enquêter sur ce mystère qui en train de se dérouler, pas mal de découvertes, mais aussi beaucoup d' interrogation, mais entre action, rebondissements et révélations, impossibles de s'ennuyer une minute et ça m'a était aussi impossible de le lâchez, je voulais la fin de l'histoire et quelle frustration, car ce cliffangher à la fin, nous laisse sur une énigme à résoudre diabolique.

J'espère vraiment que la suite ne tardera pas, une pépite à ne pas louper.
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Ce premier roman de l'autrice est une très belle réussite, j'ai adoré l'intrigue, les personnages très bien développés et le monde des sorcières (que je lis rarement). le roman est une lecture féminine, centré sur un groupe de sorcières, leurs problèmes personnels et du coven. On parle de souffrance psychologique, d'abandon, de solitude, de difficultés personnelles, c'est un roman émouvant qui parle de nombreuses difficultés qui peuvent se présenter dans la vie. J'ai beaucoup aimé cet aspect-là, qui m'a beaucoup touché. le côté fantastique est très prenant et donne du piment à l'histoire du coven et de ses femmes. J'ai été très intrigué et surprise par la tournure des événements. le final m'a beaucoup étonné, je ne m'attendais pas à cette révélation sur l'identité de l'ennemi. Je serais au rendez-vous pour lire la suite !

Athéna est hypersensible et a des problèmes de comportement affectifs avec les autres. Elle a du mal à géré et montré ses sentiments, ses émotions, dire ce qu'elle pense et aimerais faire, ce qui en fait une fille très solitaire, même si cela ne lui convient pas vraiment. Elle préfère prendre la fuite que d'affronter les erreurs qu'elle a faite. Elle a aussi beaucoup de mal à accepter les critiques et peut être aussi agaçante en voulant tout faire seule sans demander de l'aide de son coven. C'est un personnage très humain, touchante, compliquée et très détaillée. Athéna est l'opposé de sa mère qui est beaucoup plus froide, réfléchis et calme. Elle prend soin de son coven et fait tout pour les filles. Jiji est très intéressante et j'ai aimé en apprendre plus sur elle et sa façon de voir les choses. J'ai apprécié les filles du coven et en apprendre davantage sur elles. Même si j'ai trouvé que c'était un peu too much que chacune d'elles avaient eu des soucis.

En bref, ce premier tome est une belle lecture. Je pense que l'autrice nous réserve des sueurs froides pour la suite.
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
« Je sens que je suis une étrangère dans ce coven, étrangère dans la maison dans laquelle j'ai grandi qui, même si ma chambre d'antan y existe encore, n'est plus ma maison. »
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