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Critique de AHala
Roman magistral, inclassable, déroutant voir dérangeant. Un concentré d'humanité et de brutalité.
Son originalité réside dans le fait que tout le récit est conté par une multitude d'animaux et insectes différents à chaque chapitre à l'exception du dernier chapitre.
Tout commence comme un thriller noir; Wahhch Debsh, le héros de cette histoire,
commence un road trip à travers l'Amérique du Nord à la poursuite de l'assassin de sa femme. Ensuite cette poursuite se transforme en recherche de sa propre histoire travestie de ses propres souvenirs d'enfance enfouis.
A travers cette quête Wajdi Mouawad nous replonge en 1982 en plein la guerre civile au Liban pendant les terribles massacres des camps palestiniens de Sabra et Chatila. Il nous rappelle aussi toutes les guerres civiles à travers l'histoire et les atrocités commises par les hommes.
Il nous pousse à nous interroger sur l'animalité de l'homme, sa cruauté qui dépasse de très loin celle des autres animaux.
Un seul bémol, je n'ai pas aimé la fin, le dernier chapitre n'avait vraiment pas d'utilité.
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Son originalité réside dans le fait que tout le récit est conté par une multitude d'animaux et insectes différents à chaque chapitre à l'exception du dernier chapitre.
Tout commence comme un thriller noir; Wahhch Debsh, le héros de cette histoire,
commence un road trip à travers l'Amérique du Nord à la poursuite de l'assassin de sa femme. Ensuite cette poursuite se transforme en recherche de sa propre histoire travestie de ses propres souvenirs d'enfance enfouis.
A travers cette quête Wajdi Mouawad nous replonge en 1982 en plein la guerre civile au Liban pendant les terribles massacres des camps palestiniens de Sabra et Chatila. Il nous rappelle aussi toutes les guerres civiles à travers l'histoire et les atrocités commises par les hommes.
Il nous pousse à nous interroger sur l'animalité de l'homme, sa cruauté qui dépasse de très loin celle des autres animaux.
Un seul bémol, je n'ai pas aimé la fin, le dernier chapitre n'avait vraiment pas d'utilité.
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