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Critique de BrunoA


BrunoA
11 décembre 2018
Ce second volume du Meurtre du Commandeur nous entraîne dans des arcanes plus sombres, dans des ténèbres plus épaisses et dans des mystères plus insondables.
Après avoir réalisé le portrait de Menshiki, le narrateur retrouve l'inspiration, notamment grâce au tableau de Tomohiko Amada, le Meurtre du Commandeur.
Il entame le portrait de l'homme à la Subaru Forester Blanche puis, sur la demande de Menshiki, celui de Marié Akikawa.
C'est alors que la jeune fille disparaît et que le narrateur, toujours par l'intermédiaire du tableau de Tomohiko Amada, se retrouve à la frontière entre le rien et l'être.
On retrouve ici des traits d'autres romans de Murakami : la fin des temps, chroniques de l'oiseau à ressort dont l'univers ressurgit ici à travers le voyage du narrateur entre le monde réel et l'irréel.
Ce roman est passionnant de bout en bout et il ouvre au lecteur des horizons illimités et des abîmes de réflexion sur le sens des choses.
Toujours à la frontière du réel et de l'irréel, Murakami signe là une oeuvre majeure.
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