"À la fac, j'ai subi un bizutage qui a dégénéré" annonce Nathalie dans le titre original de la confession érotique. Pour avoir lu la BD, c'est pas un bizutage, ça, c'est un viol collectif. Ininterrompu pendant 150 pages. Autant dire qu'il faut s'accrocher pour s'enfiler ce torchon.
Rien à sauver. Il y a quelques idées de jeux potaches dans le dernier quart qui auraient donner du marrant dans un cadre jovial et bon enfant de fantaisies sexuelles – consentantes, of course – entre fraternités de fac. Là, c'est juste gerbant.
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