La démarche est belle et altruiste.
Quel plaisir de retrouver la plume de certains auteurs au gré de ces nouvelles.
Le cahier des charges était simple : raconter une histoire autour du repas ou des victuailles.
Encore une fois,
Eric Emmanuel Schmitt nous livre une très belle oeuvre pleine d'umanisme et d'optimisme, tout en respectant le thème.
Gros carton rouge à
Marc Lévy et
Guillaume Musso.
Le premier parce qu'il ne respecte pas le thème. Parler du conflit israélo-palestinien est certes important, mais pas dans le cadre d'un livre sur les Restos du Coeur dont le sujet était le repas et ses déclinaisons.
Le deuxième parce que sa nouvelle pourrait s'apparenter à un résumé d'un de ses romans. Il n'y a aucun rapport avec le thème imposé. Et il arrive, comme d'habitude, à citer une bonne dizaine de marques, et autant de groupes de musique en si peu de pages.
A croire qu'ils ont pioché dans leur stock, histoire d'avoir leur nom sur la couverture et faire encore plus vendre.
Les autres auteurs se lisent avec beaucoup de plaisir.
On retrouve les huis-clos à la
Thilliez, ainsi que le fantastique à la mode
Chattam.
A acheter, par plaisir de lire, et pour la bonne cause.
Commenter  J’apprécie         81