La force d’un homme n’est rien contre le pouvoir d’une femme.
nous sommes si obscurs, et pourtant, nous nous apportons tant de lumière. je ne peux plus vivre sans elle. Elle est mon obscure clarté.
il faut vivre pour écrire.
je te déteste tellement que, je crois que j'ai fini par t'aimer.
Je ne pense qu'à lui et à nous, parce qu'à ce moment, perdue dans cette passion malsaine, je me sens vivre, et même revivre.
Je marche, je cours presque, j’élance mes longues jambes, passant outre les quelques commentaires que je reçois. Allez tous crever. Parce que c’est ça, être une femme. L’impuissance. Je la déteste, et je me hais. Si je pouvais leur faire bouffer le sol, je le ferais. Mais ce sont des lâches, ces pourritures de la société, ils sont toujours en groupe. J’aimerais leur dire, mais je suis faible, je ne peux prendre le risque qu’ils s’en prennent à moi. Alors je ne dis rien, je slalome entre la drague et le harcèlement de rue, la tête baissée, la fierté détruite.
Nos regards ne se lâchent pas, nos mains non plus. Une symbiose destructrice, une symbiose salvatrice ? Pour l’instant, je ne saurais dire.
Sortir d’un roman et en commencer un autre est une des choses les plus difficiles que je doive faire. Mes personnages prennent vie dans mon esprit, et leur dire au revoir revient à dire adieu à un ami proche.
Romance sombre, drame psychologique, thriller romantique sont mes carburants. Je ne cherche pas de roman heureux, drôle, non, je veux une aventure passionnée, prenante, sombre, puissante.
Je regrette ma vie, je pleure mon futur, je suis triste. J’ai l’âme sombre et l’esprit noir. Toujours et à jamais.