Deux textes dans ce mince fascicule :
Aurélia est une nouvelle très étrange et confuse où la place accordée à la folie me semble plus grande que celle dédiée au rêve.
Avec Pandora, très courte nouvelle,
Gérard de Nerval promène son lecteur à Vienne dans le milieu du théâtre, des réceptions, de la cour...
De Gérard de
Nerval, je ne connaissais jusqu'à présent que sa poésie qui est beaucoup plus limpide et accessible.
Sentiment très panaché concernant ces deux lectures qui me paraissent vieillies. Je ne suis pas réellement conquise.
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