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Critique de Erelle
J'ai eu très peur dés les 1ères pages de me retrouver dans une love story un peu niaise. En effet, le livre s'ouvre sur Emma et Dexter fraîchement diplômés, dans leur chambre d'étudiants à tenter de se séduire et à regretter de ne s'être pas rencontrer avant ! Ils vont passer la nuit ensemble et se quitter en imaginant ne jamais se revoir…
Le choix narratif de David Nicholls est malin : on retrouve nos héros tous les ans (pendant 19 années consécutives) le 15 juillet. Cette structure donne un rythme au récit, on ne s'attarde pas sur des détails, la vie, leur vie file avec l'essentiel en premier plan : leur boulots, leurs amours, leur « retrouvailles ». L'auteur nous tient en haleine par son manque de constance : parfois ils se rejoignent parfois ils se manquent. On tombe évidemment sous le charme de ces personnages, on s'identifie, on idéalise avec eux, on chemine, on se réconcilie, on pousse des coups de gueule… On plonge donc dans cette lecture à coeur ouvert et on referme le livre avec une sorte de nostalgie mélancolique.
Le choix narratif de David Nicholls est malin : on retrouve nos héros tous les ans (pendant 19 années consécutives) le 15 juillet. Cette structure donne un rythme au récit, on ne s'attarde pas sur des détails, la vie, leur vie file avec l'essentiel en premier plan : leur boulots, leurs amours, leur « retrouvailles ». L'auteur nous tient en haleine par son manque de constance : parfois ils se rejoignent parfois ils se manquent. On tombe évidemment sous le charme de ces personnages, on s'identifie, on idéalise avec eux, on chemine, on se réconcilie, on pousse des coups de gueule… On plonge donc dans cette lecture à coeur ouvert et on referme le livre avec une sorte de nostalgie mélancolique.
