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Critique de Jusdepomme23
Il y a 6 mois, après avoir lu beaucoup de critique positive sur Olivier Norek, me voilà lancée dans son premier roman. Une première lecture que j'ai vite abandonnée au bout de quelques pages. Impossible de rentrer dans l'histoire, peut-être pas le bon moment, peut-être pas le bon état d'esprit. Mais je ne m'avoue jamais vaincue ! Me voilà donc il y a 4 jours, me relançant corps et âmes dans Code 93. Mais quelle surprise !! Un départ en fanfare, une enquête riche et pleines de rebondissements, des personnages terriblement attachant. Un super roman ! Je me demande comment j'ai pu passer à côté de celui-ci, Vraiment.
On ouvre ce roman avec la découverte d'une jeune fille retrouvée dans un squat de la commune des Lilas : traces de consommations abusives de drogues et d'alcool, relations sexuelles abusives telles que le rapport du légiste décrit cela comme "délabrement périnéale massive".
Un an plus tard, un homme emmasculé à été retrouvé dans un entrepôt désaffecté du canal d'Ourcq : portant un pull criblé de 3 balles sur lui, ne lui appartenant visiblement pas puisqu'aucune trace d'impact n'a été retrouvé sur le corps. Déclaré mort par le légiste de garde, surprise il se réveille sur la table lors de l'autopsie.
Puis, le pull les mena vers un autre corps. Celui ci entièrement brûlé mais sans aucune trace de feu autour du cadavre, ce qui lui vaut le grand titre des journaux de l'autocombustion. 2 meurtres dont la mise en scène fit beaucoup parler.
Mais quel lien relierait-il ces 3 victimes ? C'est la question que l'on se pose au début de ce roman. Même si la réponse est donnée à la moitié du roman (ce qui lui vaut les 4 étoiles et non 5), l'intrigue est complexe et très bien construite. On ne s'ennuie jamais ! Un roman très dense en informations et péripéties, que j'ai tout simplement adoré.
On ouvre ce roman avec la découverte d'une jeune fille retrouvée dans un squat de la commune des Lilas : traces de consommations abusives de drogues et d'alcool, relations sexuelles abusives telles que le rapport du légiste décrit cela comme "délabrement périnéale massive".
Un an plus tard, un homme emmasculé à été retrouvé dans un entrepôt désaffecté du canal d'Ourcq : portant un pull criblé de 3 balles sur lui, ne lui appartenant visiblement pas puisqu'aucune trace d'impact n'a été retrouvé sur le corps. Déclaré mort par le légiste de garde, surprise il se réveille sur la table lors de l'autopsie.
Puis, le pull les mena vers un autre corps. Celui ci entièrement brûlé mais sans aucune trace de feu autour du cadavre, ce qui lui vaut le grand titre des journaux de l'autocombustion. 2 meurtres dont la mise en scène fit beaucoup parler.
Mais quel lien relierait-il ces 3 victimes ? C'est la question que l'on se pose au début de ce roman. Même si la réponse est donnée à la moitié du roman (ce qui lui vaut les 4 étoiles et non 5), l'intrigue est complexe et très bien construite. On ne s'ennuie jamais ! Un roman très dense en informations et péripéties, que j'ai tout simplement adoré.
