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Critique de morin


Surtension est le cinquième roman d'Olivier Norek que je dévore. le troisième (et selon certain le dernier ) de la série Capitaine Coste 😢.

Dans cet ouvrage l'auteur démontre que le super flic qui gagne à chaque coup sans dégât et sans subir de perte n'existe pas. Mais qu'au contraire il existe des hommes et des femmes policiers qui exercent ce métier avec passion, courage, abnégation et même humanité.

Dans la première partie de l'ouvrage (environ 70 pages) il n'est nullement question du Capitaine Coste et de son équipe. L'auteur nous fait pénétrer à l'intérieur d'une prison et nous décrit un monde inhumain, pervers et glacial à travers le quotidien de quelques prisonniers dont celui de Nano, un jeune détenu. Certaines descriptions sont un peu effrayantes.

Lorsque nous retrouvons Victor Coste il dîne avec son équipe chez Johanna. Mais ce moment convivial et sympathique appartiendra très vite au passé. Plusieurs évènements vont les absorber et les bouleverser :
- Deux enquêtes abouties mais avec des répercussions dramatiques : un kidnapping puis un vol de scellés au greffe du tribunal,
- le départ en retraite de Damiani, la chef de la crime et son remplacement par Ventura.

Livre très bien écrit, passionnant, histoire crédible.
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