Le dernier livre d'
Amélie Nothomb que j'avais lu (
Premier Sang) m'avait laissé un doux sentiment et m'avait rappelé ce que je pouvais aimer chez Nothomb.
Avec
Psychopompe, c'est exactement l'inverse qui s'est produit. Passé la petite fable racontée en tout début de livre, j' ai eu le sentiment de lire un essai non-abouti, ronflant, pédant et pseudo-philosophique, qui m'a très sincèrement épuisé.
Et c'est bien dommage, car
Amélie Nothomb se livre ici comme elle ne l'avait peut-être encore jamais fait. Mais il a pour moi été impossible de passer au dessus de la couche metaphorique/philosophique pompeuse qui enrobait le tout. Un vrai regret.
Si vous voulez lire un Nothomb pour la première fois, ne commencez pas par celui-ci.
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