Citations sur Il était une fois en France, tome 4 : Aux armes, citoye.. (14)
Ce n'est pas une partie de cache-cache, c'est une course. Une course contre les nazis, contre les alliés. J'ai quitté la ligne de départ depuis un moment déjà. Il est trop tard pour s'enfuir...beaucoup trop tard.
se n, est pas parce que tu a raison, que moi j'ai tord. c'est juste que tu a pas le même point de vu que moi.
Ben tiens ! Elle me fera une belle jambe, ma conscience, quand je serai collé contre un mur....
Pendant quatre ans j'ai eu toutes les plus belles femmes, des orchidées, du champagne, du caviar à la louche... J'ai vécu dix vies, je peux bien vous en donner une.
Regarde-les Lucie. Regarde ce que ces braves gens leur font. Et tout ce qu'on leur reproche, c'est d'avoir écarté les jambes... A ton avis, qu'est-ce qu'ils nous feraient, à nous ?
Vous ne pouvez pas imaginer de quoi est capable un homme, de quels héroïsmes, de quelles infamies il est capable, pour sauver sa peau.
Curzio Malaparte.
Vous ne pouvez pas imaginer de quoi est capable un homme, des quels héroïsmes, de quelles infamies il est capable pour sauver sa peau
Curzio Malaparte
Mais tu seras toujours en danger. Et tes proches aussi. C'est le prix à payer pour la vie que tu as choisie. Tu ne seras jamais à l'abri ... jamais.
Le rôle des FFI est d'ouvrir la route de Paris aux troupes alliées et de mener l'insurrection dans l'ensemble de la capitale...
-Ça me rend malade. Faire une saloperie pareille.
-Ferme-la. On n'a pas le choix.