AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de bilodoh


En Islande, des sages-femmes et d'une femme sage.

Dyja est devenue sage-femme, comme sa tante et comme d'autres de leur lignée avant elles. Mais sa famille travaille à l'autre bout de la vie et s'occupe plutôt de cercueil et de funérailles.

Si d'entrée de jeu on parle du mot pour « sage-femme » qui en islandais signifie « mère de lumière », le roman parlera davantage de la tante de Dyja qui lui a légué son appartement. Dans les tiroirs et les penderies, elle trouvera de nombreux textes de sa parente qui parlent des animaux, de la vie et de la lumière.

Avec aussi de la vie quotidienne, des tempêtes et des aurores boréales, c'est un livre dont j'ai bien aimé les réflexions et la poésie de l'écriture. Mais j'avoue que j'aurais aimé en savoir davantage sur le vécu des sages-femmes islandaises. Dans le roman, les femmes qui viennent pour accoucher semblent des inconnues, qu'en est-il du rôle des sages-femmes pendant la grossesse ? Ou encore qu'en est-il aussi des relations avec le milieu médical lorsqu'on doit faire une césarienne ?
Commenter  J’apprécie          270



Ont apprécié cette critique (27)voir plus




{* *}