J'ai été un peu déroutée lors de la lecture du premier chapitre car
Christine Orban parle d'elle et non pas de
Marie-Antoinette. Ces parenthèses se feront tout au long du livre mais après mon premier moment de surprise, cela ne m'a pas dérangé.
Marie-Antoinette apparaît au fils des chapitres qui se structurent non pas de façon chronologiques mais par thème. On retrouve une
Marie-Antoinette proche de celle dépeinte par Sofia Coppola avec sont côté girly mais aussi son côté attachant lorsqu'elle se retrouve confrontée à la misère de ses 4 dernières années d'existence. Encore un livre sur
Marie-Antoinette me diriez vous mais j'ai beaucoup aimé celui-ci car différent dans son style d'écriture.
Commenter  J’apprécie         00