Lire d'Ormesson c'est un peu comme boire une coupe de champagne, c'est pétillant et c'est un peu grisant.
Il nous parle de lui, de son milieu, du temps qui passe, de Dieu, de
Montaigne et
Chateaubriand, de la vie qu'il a tant aimée, des doutes qu'ils entretient.
C'est parfois démodé, un peu réac, mais on lui pardonne car il y eu un esprit de tolérance qui plane sur ces pages.
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