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Critique de Ziliz


Michel Pastoureau est "spécialiste de la symbolique et de l'histoire culturelle des couleurs, des emblèmes, de l'héraldique et des animaux."
Je suis toujours friande de ses ouvrages sur les couleurs : son petit essai (2005) et ses 'beaux livres' reliés (bleu, noir, vert, rouge, jaune, blanc).
Il est également l'auteur de bestiaires, publiés notamment aux éditions du Seuil. Celui consacré au loup m'avait enchantée, celui sur le taureau m'avait déçue, ennuyée.
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Effrayée et fascinée par les baleines (probablement depuis le film 'Pinocchio' de Luigi Comencini), j'ai choisi cet ouvrage lors de la dernière MC 'non-fiction'.
Même ressenti qu'à la lecture du 'Taureau' : un début passionnant, de l'Histoire de l'Art simple, à mon niveau, avec des illustrations sublimes - mosaïques, cartes, sculptures (parfois malheureusement tronquées par le milieu de page).
Mais hélas, le propos se transforme en leçon de choses (poisson/mammifère, cachalot/baleine, pêche/chasse), tourne en rond, radote, et se focalise trop sur l'aspect économique de l'industrie baleinière.
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J'aurais aimé trouver davantage d'histoire des arts, mais le titre, qui promet plus généralement une 'histoire culturelle', ne ment pas.
On trouve quand même à la fin quelques références littéraires : le tant attendu 'Pinocchio' (Carlo Collodi, 1881), et 'Moby Dick' (Herman Melville, 1851), bien sûr, que je ne lirai pas, parce que je n'aime pas les romans d'aventure, surtout dans l'eau.
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Merci à Babelio et au Seuil.
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