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Critique de anitchoisy
Aujourd'hui on va avoir froid, froid dans le dos surtout.
J'ai choisi un très bon thriller qui va vous glacer le sang et les os.
Le titre "Le sanatorium” déjà on flippe un peu non ?
Si vous aimez ça tant mieux car le reste est à la hauteur. Tout se passe dans un hôtel de luxe, un ancien sanatorium niché dans les alpes suisses. le problème c'est que dans ce genre d'endroit il y a des tempêtes, voyez-vous, qui peuvent vous isoler quelques jours durant du reste du monde. Et c'est ce qui va se passer. Vous rajoutez à cela un architecte disparu quelques années auparavant, un corps retrouvé mutilé et une fiancée introuvable et vous avez un bon huis clos terrifiant.
L'héroïne, c'est Elin, une policière en arrêt maladie qui est venue avec son compagnon Will.
Elle est là pour fêter les fiançailles de son frère avec qui pourtant elle a des rapports difficiles depuis un drame familial. Elle va forcément être obligée d'enquêter sur tout ce qui se passe car la police ne peut pas les atteindre. Mais ça va être très tendu et… dangereux.
Mais quel suspense ! A chaque page, un rebondissement, des fausses pistes, des meurtres horribles, un froid glacial, un passé qui hante notre héroïne, un compagnon toujours prêt à la soutenir, un frère dont elle doute et une direction hôtelière qui bât de l'aile.
Un huis clos captivant avec une intrigue extrêmement bien ficelée.
L'auteur, Sarah Pearse, est une américaine qui a emménagé dans les alpes suisses à l'âge de 20 ans. Elle s'inspire d'une bâtisse qu'elle a découverte lors d'une balade, un sanatorium réhabilité en hôtel. Elle en restera marquée et a développé son imaginaire autour de cet édifice.
Au-delà de la partie enquête, il est aussi question de traumatisme de l'enfance, des relations fraternelles, de violence...
L'écriture de Pearse est très visuelle.
Et puis je ne sais pas vous, mais j'adore ce genre d'ambiance ou, en plus d'avoir peur pour les personnages, on a froid avec eux. Les paysages hostiles rajoutent de la tension c'est indéniable. Et puis à cette saison on a envie de ça. Ne serait-ce que pour se pelotonner encore plus sur le canapé en se disant que finalement on est bien chez soi.
J'ai choisi un très bon thriller qui va vous glacer le sang et les os.
Le titre "Le sanatorium” déjà on flippe un peu non ?
Si vous aimez ça tant mieux car le reste est à la hauteur. Tout se passe dans un hôtel de luxe, un ancien sanatorium niché dans les alpes suisses. le problème c'est que dans ce genre d'endroit il y a des tempêtes, voyez-vous, qui peuvent vous isoler quelques jours durant du reste du monde. Et c'est ce qui va se passer. Vous rajoutez à cela un architecte disparu quelques années auparavant, un corps retrouvé mutilé et une fiancée introuvable et vous avez un bon huis clos terrifiant.
L'héroïne, c'est Elin, une policière en arrêt maladie qui est venue avec son compagnon Will.
Elle est là pour fêter les fiançailles de son frère avec qui pourtant elle a des rapports difficiles depuis un drame familial. Elle va forcément être obligée d'enquêter sur tout ce qui se passe car la police ne peut pas les atteindre. Mais ça va être très tendu et… dangereux.
Mais quel suspense ! A chaque page, un rebondissement, des fausses pistes, des meurtres horribles, un froid glacial, un passé qui hante notre héroïne, un compagnon toujours prêt à la soutenir, un frère dont elle doute et une direction hôtelière qui bât de l'aile.
Un huis clos captivant avec une intrigue extrêmement bien ficelée.
L'auteur, Sarah Pearse, est une américaine qui a emménagé dans les alpes suisses à l'âge de 20 ans. Elle s'inspire d'une bâtisse qu'elle a découverte lors d'une balade, un sanatorium réhabilité en hôtel. Elle en restera marquée et a développé son imaginaire autour de cet édifice.
Au-delà de la partie enquête, il est aussi question de traumatisme de l'enfance, des relations fraternelles, de violence...
L'écriture de Pearse est très visuelle.
Et puis je ne sais pas vous, mais j'adore ce genre d'ambiance ou, en plus d'avoir peur pour les personnages, on a froid avec eux. Les paysages hostiles rajoutent de la tension c'est indéniable. Et puis à cette saison on a envie de ça. Ne serait-ce que pour se pelotonner encore plus sur le canapé en se disant que finalement on est bien chez soi.
