Un long poème sur l'Espérance ; la deuxième vertu. Ici le poète a voulu, avec des versets (plutôt que des vers) exprimer les mystères profonds de la religion avec une telle naïveté enfantine et une croyance innocente.
On y trouve les sujets chers à Charles Péguy, à savoir : l'amour divin, l'espérance (bien évidemment) et l'innocence. Il essaie de chanter cette vertu sans pompe, avec le simple usage de métaphores familières et de scènes attendrissantes.
A vrai dire, la lecture de ce poème n'est pas toujours un bonheur, et l'on risque de s'ennuyer à mi-chemin, alors que peu de passages seulement peuvent nous intéresser et nous secouer.
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