La malédiction des Médicis, tome 1 : Le prince sans couronne

L'époque dans laquelle s'inscrit le livre est propice aux rencontres de personnages hauts en couleurs : Cosme de Médicis, Botticelli, Laurent le Magnifique, Léonard de Vinci, et même Michel Ange encore enfant. C'est donc d'abord la célébration des arts, propre à la Renaissance, qui transporte le lecteur. Mais c'est aussi l'imbroglio politique que constituait l'Italie à cette période où les républiques s'affrontent à coups d'épée et surtout de stratagèmes dignes de l'un de ses plus illustres représentants (Machiavel) qui passionne. Tous les ingrédients sont donc réunis pour nous offrir une belle fresque historique à travers l'histoire de Laurent de Médicis et des membres de sa famille ; ce que l'auteur tente de nous offrir grâce à un style simple sans être banal.
On regrettera cependant que les sentiments des personnages clefs ne soient pas davantage fouillés. Certes les frasques amoureuses du Magnifique sont relatées tout comme les solides liens qu'il entretenait avec sa famille, mais cela ne saurait suffire… Leur exposition est probablement trop superficielle. Davantage creuser la psychologie des protagonistes (à la manière de Sweig ou Sinoué) aurait permis de s'y attacher un peu plus et le roman aurait davantage marqué.
Pour finir, un immense merci à Babelio et aux éditions Archipoche pour m'avoir offert ce livre!

Je dois l'avouer, je déteste abandonner un livre. Mais je déteste encore plus l'idée de me forcer quand je n'arrive pas à entrer dans ma lecture. Ce n'est pas tant l'écriture qui me bloque chez Patrick Pesnot, car il a un certain don pour redonner vie à une époque qui n'est plus, comme dans La Rose et le Bourreau, mais mais plutôt l'histoire en elle même qui ne m'interpelle pas, ne me touche pas ou ne me transporte pas. Il y a des livres comme qui, malgré la beauté de l'écriture, ne nous touchent pas plus que cela. C'est comme ça j'imagine !

L'époque dans laquelle s'inscrit le livre est propice aux rencontres de personnages hauts en couleurs : Cosme de Médicis, Botticelli, Laurent le Magnifique, Léonard de Vinci, et même Michel Ange encore enfant. C'est donc d'abord la célébration des arts, propre à la Renaissance, qui transporte le lecteur. Mais c'est aussi l'imbroglio politique que constituait l'Italie à cette période où les républiques s'affrontent à coups d'épée et surtout de stratagèmes dignes de l'un de ses plus illustres représentants (Machiavel) qui passionne. Tous les ingrédients sont donc réunis pour nous offrir une belle fresque historique à travers l'histoire de Laurent de Médicis et des membres de sa famille ; ce que l'auteur tente de nous offrir grâce à un style simple sans être banal.
On regrettera cependant que les sentiments des personnages clefs ne soient pas davantage fouillés. Certes les frasques amoureuses du Magnifique sont relatées tout comme les solides liens qu'il entretenait avec sa famille, mais cela ne saurait suffire… Leur exposition est probablement trop superficielle. Davantage creuser la psychologie des protagonistes (à la manière de Sweig ou Sinoué) aurait permis de s'y attacher un peu plus et le roman aurait davantage marqué.

Tout d'abord un grand merci à Babelio et aux éditions Archipoche pour m'avoir offert ce livre lors de la dernière Masse critique. Je l'ai attendu avec impatience car j'aime beaucoup les romans historiques qui me font voyager tout en m'instruisant. Je me suis donc plongée avec plaisir dans ce récit de l'age d'or de Florence, de l'Art, et de l'une des grandes famille italiennes qui l'a forgé. Cependant si ma curiosité, mon gout pour le passé du bassin méditerranéen ont été largement satisfait, la lectrice est restée un peu insatisfaite. En effet, il me semble que les aspects historiques ont bien été respectés et j'ai été ravie de retrouver des figures aussi illustres que Michelangelo, Botticini,etc. de même, le personnage de Laurent de Médicis est bien à l'image de ce que j'avais pu découvrir lors de mes études ou d'autres lectures que ce sujets. En revanche, j'ai eu du mal à rentrer dans l'univers, à voyager à travers lui peut être à cause des nombreuses et longues descriptions presque journalistiques ou du ton presque neutre de l'écriture. Pour moi, ce livre est presque un documentaire et en tant que tel, il est simple, très clair et facile à comprendre mais en tant que roman, il manque cruellement de force, d'intrigue et de ce petit quelque chose qui emporte le lecteur.