Moins de fautes que dans les deux précédents (je n'en ai pas vu en tous cas) donc ça a été un soulagement de se laisser emporter... mais ça n'a pas super bien marché non plus. On est immergé cette fois dans le Quart-monde parisien et j'aime bien ce côté social qui ressort dans ces ouvrages. Vous me direz, vu que le héros est un curé, c'est la moindre des choses. Peut-être.
Bon ce qui m'a agacée (pour ne pas dire gonflée) c'est le gros méchant final: on replonge dans un volume précédent où on pensait que l'affaire était bouclée, mais non, pas tout-à-fait... (pour savoir de quoi je parle il faudra les lire. Tous.)
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Bref, je suis un émissaire du Christ, bon OK, un peu particulier, je dois avouer que je me souviens plus trop de mes voeux, moi, si tu veux, par rapport à Jésus, qui, quand il prenait une châtaigne sur la joue gauche, tendait la droite, j'aurais plus tendance à foutre un grand coup de genou dans les orphelines de mon agresseur, histoire de lui apprendre la génuflexion et le respect.
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