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Critique de clemia
Bienvenue dans la ferme Yamashita dont le propriétaire, monsieur Yamashita lui-même nous ouvre les portes. Ce magnifique objet livre se compose en plusieurs courts textes, réflexions de vie liées à l'agriculture mais aussi aux différences et aux alliages culturels d'Asafumi Yamashita.
Ces textes sont interposés au milieu de nombreuses photos et commentaires sur tel ou tel légume.
Les photos sont absolument sublimes. Comme l'écrit l'auteur d'ailleurs, le photographe, Alexandre Petzold a su capturer la saveur même de son agriculture et l'âme du potager. Il l'a véritablement compris. Et ça se sent.
Quant aux réflexions écrites par Yamashita, qu'on soit d'accord ou non avec n'est, à mon sens, pas le propos. J'ai retrouvé dans ses paroles son amour sans faille pour ses tomates, ses aubergines, ses choux, ses potimarons kabucha, ses graines, et tous les autres. Il les compare d'ailleurs à ses enfants, et la comparaison ne pourrait être plus juste.
Les photos accompagnées des textes (en français et en japonais) rendent cet ouvrage extrêmement personnel. Tel les légumes qu'il fait pousser, en les attendant, en les aimant, Yamashita se donne à nous autres lecteurs. Il nous offre son amour pour ses progénitures et pour les cultures japonaise et française.
Il décrit l'agriculture comme un voyage immobile et solitaire qu'il effectuerait chaque jour au contact de la terre. La lecture de manière générale est pour moi un voyage en tout point similaire. Cet ouvrage en est un exemple parfait. J'ai voyagé dans la ferme Yamashita ce soir en parcourant les allées du potager, en observant le sourire calme et confiant illuminé par le soleil du soir de Yamashita.
Ces textes sont interposés au milieu de nombreuses photos et commentaires sur tel ou tel légume.
Les photos sont absolument sublimes. Comme l'écrit l'auteur d'ailleurs, le photographe, Alexandre Petzold a su capturer la saveur même de son agriculture et l'âme du potager. Il l'a véritablement compris. Et ça se sent.
Quant aux réflexions écrites par Yamashita, qu'on soit d'accord ou non avec n'est, à mon sens, pas le propos. J'ai retrouvé dans ses paroles son amour sans faille pour ses tomates, ses aubergines, ses choux, ses potimarons kabucha, ses graines, et tous les autres. Il les compare d'ailleurs à ses enfants, et la comparaison ne pourrait être plus juste.
Les photos accompagnées des textes (en français et en japonais) rendent cet ouvrage extrêmement personnel. Tel les légumes qu'il fait pousser, en les attendant, en les aimant, Yamashita se donne à nous autres lecteurs. Il nous offre son amour pour ses progénitures et pour les cultures japonaise et française.
Il décrit l'agriculture comme un voyage immobile et solitaire qu'il effectuerait chaque jour au contact de la terre. La lecture de manière générale est pour moi un voyage en tout point similaire. Cet ouvrage en est un exemple parfait. J'ai voyagé dans la ferme Yamashita ce soir en parcourant les allées du potager, en observant le sourire calme et confiant illuminé par le soleil du soir de Yamashita.
