Je retins de cet épisode une haine formidable envers les guêpes. Les étés qui suivirent furent très désagréables pour celles qui me tombèrent sous la main : je ne me contentais pas de les tuer, je les torturais avec une joie démoniaque.
C'était le bon temps. Celui où je détestais les guêpes, mais où je n'en avais pas encore peur...
Un vrai bonheur de caporal allemand.
Se faisant tard, je me laisse déborder par les ailes et profite du langage ordurier de l’auteur [Christophe Corthouts] pour lui poser une question aussi incorrecte que la présente phrase : à quand une histoire de cul ? Je n’espérais pas tomber si bien : "C’est en projet… J’aimerais écrire une série érotique, voire porno, sous un pseudo bien ringard du genre James Labite, Patrick LaTrique ou Armand Jemachatte (Ma préférence va pour ce dernier.) Ça raconterait l’histoire d’un type qui bosse dans une administration communale, qui invente un bidule du genre "le déclic" de Manara, qui s’enfile toutes les bonnes femmes les plus girondes de son boulot et puis qui part à la conquête de Paris… A la fin, il épouse une femelle castor ou une mangouste du zoo de Vincennes."
Enlevez l’humour des romans de Terry Pratchett et il ne reste plus rien. Enlevez l’humour des œuvres de David Eddings et il vous restera des bons romans. Ils seront un peu moins intéressants mais resteront lisibles.