Mais quand je voyage, je retrouve la liberté et mon vice de toujours, le papier, les crayons, l'encre.
C’est pour ça que j’étais allé au Pérou ? Pour toucher les limites de notre petitesse et les bordures sinistres de nos délires de pouvoir ?
L’Opus Dei, les militaires, les massacres, la guerre civile.Tout cela avait été aux origines de ma propre vie et tout était là de nouveau, autour de moi., à Ayacucho.Les mêmes agents travaillant avec les mêmes matériaux,le sang et la souffrance,pour produire la même chose, le deuil et l’injustice.