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Critique de pgremaud


Une lecture d'été, parmi les livres apportés par les uns et les autres dans notre maison de vacances.
Du 13 février au 5 mars 1995, dans le train, chez lui ou ailleurs (et même à 30 km de mon lieu de vacances !), Patrick Poivre d'Arvor écrit à sa fille Solenn, qui s'est suicidée le 27 janvier. Il lui parle des derniers bons moments qu'ils ont passés ensemble dans les mois précédant sa mort, lui raconte le déroulement des messes célébrées pour sa sépulture... Cela peut paraître un peu morbide, mais reflète vraiment l'amour que l'auteur portait à sa fille, même si cela n'a pas été suffisant pour lui donner envie de continuer à vivre.
Je connaissais vaguement l'histoire de Solenn et son combat contre l'anorexie, mais je n'avais jamais imaginé toutes ses péripéties, comme des internements ou des fugues, ni l'impact sur les membres de sa famille. Beaucoup de lecteurs se sont reconnus dans cette situation et avaient déjà écrit à Patrick Poivre d'Arvor après son premier livre. Ils continuent à dialoguer avec lui après la mort de Solenn et je comprends qu'ils aient besoin de le faire.
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