Il y avait certainement une part de provocation dans cet appel à la censure - qu'il a d'ailleurs par la suite écarté, la jugeant manifestement inefficace et irréalisable dans une démocratie : le théoricien de la société ouverte, l'un des interprètes majeurs de la pensée libérale, voulait en fait lancer un vibrant cri d'alarme.
Sans le soutien de la famille, une grande partie de ce qui est enseigné à l'école serait perdu.
L’École, dont le rôle est de transmettre notre culture, n'est-elle pas en partie responsable de cette situation, n'a-t-elle pas échoué jusqu'à maintenant pour ce qui est de nous guider sur l'usage que nous devrions faire de la télévision.
La télévision est une voleuse de temps.
Très vite, la télévision a utilisé la violence pour capter l'attention, et elle a continué à le faire, malgré la réprobation de l'opinion publique.
La télévision vit dans le présent ; elle ne respecte pas le passé et montre peu d'intérêt pour le futur.
Une étude récente a montré ainsi qu'il y avait en moyenne vingt-cinq actes de violence par heure dans les émissions enfantines, et seulement cinq dans les programmes de grande écoute. Les dessins animés "d'action et d'aventures" relatent en fait des "affaires de pouvoir".