Les Géants de Fer, tome 1

J'ai apprécié l'histoire en elle-même: le peuple Kalaharis réduit à l'esclavage par les Zhôls pour le Burium qui permet d'obtenir de l'énergie.

Asselios est courageux et devra s'enfuir en compagnie de son ami Arto car il a commis un acte répréhensible pour les Zhôls. En cours de route, ils seront aidés par une mamie (qui se prend un peu pour Maître Yoda!) et sa petite-fille.

J'ai aimé Asselios qui va aller au-delà de sa peur, des ses capacités. J'ai bien aimé là où l'auteur voulait nous mener et le combat pour retrouver la liberté du peuple. Ce qui m'a un peu refroidie c'est les dessins. Sans vouloir offenser, je ne trouve pas ceux-ci très engageants. Mais ceci n'engage que moi bien sûr!

Néanmoins, je suis curieuse de lire la suite des aventures d'Asselios et de Arto :)
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Humm... Je n'aime pas forcément faire des avis négatifs surtout quand l'auteur débute. Mais comme je n'ai pas que du négatif à dire, je le fais quand même. Je vais commencer par ce que je n'aime pas. le dessin, que je trouve pas très agréable, je suis désolé, mais je n'ai pas du tout accroché à ce dessin un peu trop sombre pour moi. Après la grand-mère qui parle comme Yoda, ce fut drôle à un moment maintenant, je trouve, ça limite un peu lourd. Après je peux comprendre la dose d'humour que l'auteur a voulu apporter à son histoire. Mais il n'y a pas que du négatif bien au contraire. J'aime énormément le personnage d'Assélios, que l'on affectionne assez rapidement ainsi que ce robot Arto. Il faut savoir qu'Assélios vit dans un peuple un peu opprimé pour produire du métal, que je n'ai pas retenu le nom d'ailleurs. Une histoire un peu déjà vue, mais il y a une légende assez intrigante, qui m'a permis de continuer ma lecture et de pas l'abandonner. Après, je n'ai pas vraiment accroché au début de l'histoire, c'est vraiment à l'apparition d'Assélios que j'ai commencé à laisser les défauts de côte pour enfin apprécier l'histoire. Même si beaucoup de choses sont prévisibles, je me suis laissé prendre au jeu et le fait que je n'aime pas les dessins à fini par passer en second plan. Comme je le disais plus haut le personnage d'Assélios est vraiment accrocheur, du coup les pages défilent assez rapidement et la fin arrive bien trop vite.

En conclusion, des dessins que je n'aime pas particulièrement, mais une histoire assez intrigante qui vous plonge facilement dans l'univers d'Assélios. Un monde qui se dévoile petit à petit. Et même si je n'ai pas forcément aimé les dessins, j'ai quand même hâte de lire la suite. Je tiens à remercier Nats Édition pour cette lecture.
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L'histoire se déroule sur la planète Alkinoïde, où se trouve le Burium, une source d'énergie rare. Les habitants d'Alkinoïde sont réduits en esclavage et contraints de travailler nuit et jour dans ces mines pour le compte du nouveau gouverner Roghur venu s'emparer du Burium. Dans ces heures sombres, ils se raccrochent à une légende, prétendant qu'un guerrier aura le pouvoir de réveiller les Géants de Fer pour venir les libérer de la tyrannie.
Du point de vue de la forme, les dessins sont travaillés et agréables. On y retrouve les codes des Shonen dans les thématiques et les personnages qui nous sont présentés. La narration est fluide, les actions sont bien expliquées et on ne peine pas à suivre le déroulement de l'intrigue. Ce qui permet au lecteur de se plonger rapidement au coeur de l'histoire.
Les personnages sont attachants et bien définis. J'ai particulièrement aimé le fait qu'un robot soit un des protagonistes principaux.
L'univers de science-fiction qui nous est dépeint ici, acquiert par la patte d'Yvan Postel une identité qui lui est propre. Il se dégage quelque chose de fort dans le dessin qui m'a beaucoup plu tout au long de la lecture. C'est dynamique, vif et travaillé !
L'intrigue m'a séduite même si elle manque un peu d'originalité. J'ai trouvé intéressant le fait que l'auteur aborde des thèmes comme l'oppression d'un peuple ou la lutte pour la liberté et j'aurais bien aimé que cela soit plus développé encore.
Petit bémol, j'ai parfois trouvé que les dialogues étaient trop adressés aux lecteurs et ne paraissaient pas « naturel » (du genre à révéler une information que les deux protagonistes connaissent parfaitement, mais qu'ils répètent uniquement pour que le lecteur l'intègre.) Cela est dommage, il y a d'autres moyens de le signifier par le dessin.
En conclusion : c'est une oeuvre riche et plaisante qui se nourrit de nombreuses références et j'ai été amusée d'y trouver des clins d'oeil à Star Wars pour ne citer que ceux-ci. Je le conseille sans retenu aux amateurs du Shonen ou même la BD de manière générale.
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