Pourquoi les oiseaux meurent

La couverture, le titre et e résumé au dos du livre étaient très très attirants.
Mais j'ai été très déçue par ce premier roman.
Le narrateur est un étudiant en thèse de 29 ans, il vit à Paris mais est né à Bonsecours, près de Rouen. il est un peu passif, ne se décide pas à terminer sa thèse... Lorsqu'il lit dans un journal qu'il y a eu une pluie d'oiseaux morts à Bonsecours, sa ville natale, cela l'interpelle. Il décide alors de mener une sorte d'enquête sur ce phénomène passé quasi-inaperçu. Pour cela, il décide de partir sur la Seine, en croisière sur une péniche. Il y croisera un groupe de retraités.
Hélàs, le voyage est lent, très lent, il se passe très peu de choses. le narrateur réfléchit à sa vie, il parle beaucoup de son père, il digresse mais c'est ennuyeux.
C'est court (183 p) heureusement car j'ai eu du mal à le terminer.

Ce premier roman est plein d'erreurs et d'emprunts, espérons que cela soit le dernier. Deux erreurs par exemple : les Martinets noirs mâles qui meurent après la copulation et les Merles noirs qui sont pris pour des Corneilles noires. S'il voulait écrire un livre sur les oiseaux, autant se documenter un peu mieux. Quant aux emprunts, il en farcit son histoire ennuyeuse tout du long pour essayer de relever la sauce, mais c'est raté. Il finit en apothéose avec l'histoire archiconnue des moineaux massacrés par Mao.

Pas intéressant pour moi.

Le narrateur quitte Paris pour rejoindre son village natal en Normandie afin de faire la lumière sur un étrange phénomène. Un jour, des oiseaux sont tombés du ciel en grand nombre sans que quiconque ne s'en inquiète. Entre enquête aviaire et quête identitaire, il remonte la Seine à bord d'un bateau de croisière. Premier roman.

La couverture du livre était attirante, l'histoire prometteuse mais je n'ai pas réussi à aller au bout de ma lecture.