Otto appliqua amoureusement la crosse de son fusil-mitrailleur contre sa joue. Il avait toujours prêté à son arme une passion qu'on réserve ordinairement à une jolie femme.
Il appuya sur la détente et vit les balles arracher la terre, loin devant lui, empêchant les ennemis de sortir de leur trou.
Après ce combat, ce serait le repos. Mais il ignorait encore où on les enverrait...