Dans la salle de bains, je croisai mon reflet dans le miroir. Je n’avais rien d’un lutteur. Ni d’un pêcheur. Ni d’un élève. J’avais plutôt tout d’un cadavre. C’était la nuit de l’Ado Vivant.
Est-ce que je le comprenais ? Je me trouvais plongé dans un monde qui commençait à ressembler à celui de ma mère. Il était bel et bien fou.