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Critique de llyza
Je n'avais pas prévu de le lire à cause de la couv'. Elle est terne, triste et le montage fait archaïque… alors que le ton de Cherie Priest est à son opposé : c'est ultra péchu !
On est dans de l'Urban Fantasy et la collection de chez Panini — Crimson — n'a clairement plus rien à me prouver de ce côté-là. J'ai surkiffé Les Ténèbres des Londres, j'ai apprécié le dépaysement de L'Etreinte du Zodiaque ou même la petite surprise avec Les Fils de la Pleine Lune (non ce n'est pas de la Romance Paranormale). Jusqu'à présent je n'ai jamais été déçue par eux, pour les fans de ce genre vous pouvez y aller sans souci car Les Rapports Cheshire Red viennent appuyer encore une fois mes dires.
Cherie Priest à une plume fluide, ce qui fait que je l'ai lu très rapidement et que je n'ai qu'une seule envie maintenant, entamer le deuxième tome (une fois que j'ai terminé ma chro en faite). On est dans le même style que dans un Chick-Lit classique, avec une héroïne qui nous prend à partie et c'est très réaliste finalement. Il y a juste ce qu'il faut pour qu'on ait des moments plus personnels avec ses anecdotes et des moments de récits où on entre immédiatement dans l'action.
Raylene Pendle est une sorte de copine qui nous raconte comment elle gagne sa vie : à savoir, elle récupère pour des clients toutes sortes d'objets, documents, etc de manière assez efficace. En étant une vampire, ses capacités surhumaines sont bien utiles pour se faufiler dans des endroits bien gardés et s'en sortir sans trop de dégât.
Alors qu'elle commençait à se faire chier (appelons un chat, un chat) dans les requêtes qu'elle recevait, voilà qu'un client assez audacieux lui amène de quoi perturber son petit train-train quotidien. On part alors dans une folle course avec des personnages hauts en couleurs, afin de récupérer quelque chose qui ne concerne pas juste ce client potentiel. On s'attache alors autant à elle qu'à ses petits camarades. D'ailleurs, je vous mets au défi de ne pas apprécier ce fameux Adrian ;) Sa relation avec ses petits squatteurs est drôle, elle ne veut pas s'attacher parce qu'elle ne veut pas d'humain de compagnie, mais en fin de compte ce n'est pas si simple que ça.
Une lecture simple et efficace, une plume fluide avec son histoire qui ne laisse pas de temps mort ; ce qui fait qu'on enchaîne les pages et qu'on finit Bloodshot avec une seule envie, continuer avec ce fil rouge pour en savoir plus.
On est dans de l'Urban Fantasy et la collection de chez Panini — Crimson — n'a clairement plus rien à me prouver de ce côté-là. J'ai surkiffé Les Ténèbres des Londres, j'ai apprécié le dépaysement de L'Etreinte du Zodiaque ou même la petite surprise avec Les Fils de la Pleine Lune (non ce n'est pas de la Romance Paranormale). Jusqu'à présent je n'ai jamais été déçue par eux, pour les fans de ce genre vous pouvez y aller sans souci car Les Rapports Cheshire Red viennent appuyer encore une fois mes dires.
Cherie Priest à une plume fluide, ce qui fait que je l'ai lu très rapidement et que je n'ai qu'une seule envie maintenant, entamer le deuxième tome (une fois que j'ai terminé ma chro en faite). On est dans le même style que dans un Chick-Lit classique, avec une héroïne qui nous prend à partie et c'est très réaliste finalement. Il y a juste ce qu'il faut pour qu'on ait des moments plus personnels avec ses anecdotes et des moments de récits où on entre immédiatement dans l'action.
Raylene Pendle est une sorte de copine qui nous raconte comment elle gagne sa vie : à savoir, elle récupère pour des clients toutes sortes d'objets, documents, etc de manière assez efficace. En étant une vampire, ses capacités surhumaines sont bien utiles pour se faufiler dans des endroits bien gardés et s'en sortir sans trop de dégât.
Alors qu'elle commençait à se faire chier (appelons un chat, un chat) dans les requêtes qu'elle recevait, voilà qu'un client assez audacieux lui amène de quoi perturber son petit train-train quotidien. On part alors dans une folle course avec des personnages hauts en couleurs, afin de récupérer quelque chose qui ne concerne pas juste ce client potentiel. On s'attache alors autant à elle qu'à ses petits camarades. D'ailleurs, je vous mets au défi de ne pas apprécier ce fameux Adrian ;) Sa relation avec ses petits squatteurs est drôle, elle ne veut pas s'attacher parce qu'elle ne veut pas d'humain de compagnie, mais en fin de compte ce n'est pas si simple que ça.
Une lecture simple et efficace, une plume fluide avec son histoire qui ne laisse pas de temps mort ; ce qui fait qu'on enchaîne les pages et qu'on finit Bloodshot avec une seule envie, continuer avec ce fil rouge pour en savoir plus.
