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Critique de ildibad
Etrange et dérangeant, envoutant, ce roman est considéré comme une oeuvre secondaire de Priest par beaucoup de critiques.
En cause, une fin ... qui laisse sur sa faim. Une fin qui nous pousse à retourner dans le livre pour rechercher les indices qu'on a loupé, les signes avant-coureurs des lézardes dans le tissus de la réalité.
En 1990, le roman était conoté Sci-Fi: Internet, les mails, un accident nucléaire à la Hague, ... Aujourd'hui, il a bien vieilli et reste étonnament moderne.
On suit une femme, des hommes, des femmes, un homme ? Qui est sans histoire ? Rien n'est ce qu'il parrait à la première lecture. Mais quelle femme impersonnifie le titre ? Livre refermé, on a une réponse, trop facile, trop évidente ?
Priest est un auteur à la sensibilité à fleur de page. Il est ce countryside british presque trop caricatural, mais qu'est ce qu'on aime !
Si vous le lisez, n'oubliez pas : rien chez lui n'est au hasard ...
En cause, une fin ... qui laisse sur sa faim. Une fin qui nous pousse à retourner dans le livre pour rechercher les indices qu'on a loupé, les signes avant-coureurs des lézardes dans le tissus de la réalité.
En 1990, le roman était conoté Sci-Fi: Internet, les mails, un accident nucléaire à la Hague, ... Aujourd'hui, il a bien vieilli et reste étonnament moderne.
On suit une femme, des hommes, des femmes, un homme ? Qui est sans histoire ? Rien n'est ce qu'il parrait à la première lecture. Mais quelle femme impersonnifie le titre ? Livre refermé, on a une réponse, trop facile, trop évidente ?
Priest est un auteur à la sensibilité à fleur de page. Il est ce countryside british presque trop caricatural, mais qu'est ce qu'on aime !
Si vous le lisez, n'oubliez pas : rien chez lui n'est au hasard ...
