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Critique de Esorlecram


Cela démarre vraiment bien. Un policier classique bien ficelé : l'inspecteur Miller est chargé de mettre la main sur un tueur en série. L'auteur donne alors la parole à ce « tueur ». Un chapitre sur deux. de courts chapitres au début, puis de plus en plus longs. Mais on se lasse de ces interminables monologues où John Robey tente de se justifier, parle d'événements étranges qui se sont passées au Nicaragua.
Puis le « tueur » se montre au grand jour et rencontre l'inspecteur Miller. il lui dévoile petit à petit les agissements criminels de la CIA, dans un crescendo qui mène au « bouquet final » où On apprend aussi que les bons ne sont pas toujours les bons et les méchants pas toujours aussi méchants que cela.
On sait que la CIA est suspecte dans beaucoup d'événements louches de l'histoire des USA, qu'elle est sans doute capable des pires crimes, mais fallait-il en faire un roman de plus de 700 pages ?
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