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En 1897, on rencontre la famille Aupic qui vient de déménager dans la campagne. Marie et Charles déjà parents de Maximilien et de Madeline, attendent leur petit Marceau. Tout va bien dans le meilleur des mondes, entre amour, piques niques et jeux.
Malheureusement en 1906, Marie meurt brutalement et laisse 4 âmes en peine. Charles avec ses idéaux n'élève pas les enfants dans l'amour mais sous la violence et les dictats de la mode bourgeoise de l'époque. Comment les enfants vont il finir, sous ce climat de violence? Est ce que la famille va finir unit ou au contraire se déchirer? Je te laisse lire cette histoire pour le savoir 🤭.
Je suis entrée tête la première dans cette histoire. L'écriture de Mélissa est addictive et très immersive. Je me voyais là-bas en train de pique-niquer dans leur immense jardins avec les abeilles qui butinent et le chant des oiseaux 🤭. Mais j'étais aussi là-bas, dans l'enfer de la première guerre mondiale. Je voyais les rats, sentait les secousses des bombes et je sentais les odeurs et les effluves de la mort qui n'était jamais très loin.
Je me suis vite attachée à Marceau et son amie Héloïse, qui malgrès les codes et coutumes de l'époque, voyait déjà l'émancipation de la femme et de l'Humain avec un grand H. Via ces personnages, l'autrice dénonce les tabous de l'homosexualité, des métiers de l'art, des étiquettes pour chaque classe, de la femme dépendante qui est juste bonne à s'instruire pour être la meilleure épouse possible...
J'ai grincé des dents face à ce père tout sauf compréhensif, rempli de violence et de rancoeur.
Je suis entrée dans l'intimité de cette famille et j'ai assisté aux scènes joyeuses comme triste où l'incompréhension et la rancoeur, malgré l'amour, s'installent tout doucement.
C'est une lecture parfaite pour la douceur de l'automne qui s'installe tout doucement!
Est ce que tu pourrais être intéressé par cette histoire?
Critique de Quand_la_mouette_bouquine
En 1897, on rencontre la famille Aupic qui vient de déménager dans la campagne. Marie et Charles déjà parents de Maximilien et de Madeline, attendent leur petit Marceau. Tout va bien dans le meilleur des mondes, entre amour, piques niques et jeux.
Malheureusement en 1906, Marie meurt brutalement et laisse 4 âmes en peine. Charles avec ses idéaux n'élève pas les enfants dans l'amour mais sous la violence et les dictats de la mode bourgeoise de l'époque. Comment les enfants vont il finir, sous ce climat de violence? Est ce que la famille va finir unit ou au contraire se déchirer? Je te laisse lire cette histoire pour le savoir 🤭.
Je suis entrée tête la première dans cette histoire. L'écriture de Mélissa est addictive et très immersive. Je me voyais là-bas en train de pique-niquer dans leur immense jardins avec les abeilles qui butinent et le chant des oiseaux 🤭. Mais j'étais aussi là-bas, dans l'enfer de la première guerre mondiale. Je voyais les rats, sentait les secousses des bombes et je sentais les odeurs et les effluves de la mort qui n'était jamais très loin.
Je me suis vite attachée à Marceau et son amie Héloïse, qui malgrès les codes et coutumes de l'époque, voyait déjà l'émancipation de la femme et de l'Humain avec un grand H. Via ces personnages, l'autrice dénonce les tabous de l'homosexualité, des métiers de l'art, des étiquettes pour chaque classe, de la femme dépendante qui est juste bonne à s'instruire pour être la meilleure épouse possible...
J'ai grincé des dents face à ce père tout sauf compréhensif, rempli de violence et de rancoeur.
Je suis entrée dans l'intimité de cette famille et j'ai assisté aux scènes joyeuses comme triste où l'incompréhension et la rancoeur, malgré l'amour, s'installent tout doucement.
C'est une lecture parfaite pour la douceur de l'automne qui s'installe tout doucement!
Est ce que tu pourrais être intéressé par cette histoire?
