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Critique de cats26
Deux êtres meurtris par la vie se rencontrent par hasard et vont s'aimer.
Mon résumé semble niais et cliché. J'ai trouvé le roman niais et cliché : à ma gauche, Natalia, pauvre petite fille riche qui ne se remet pas de la perte de sa soeur ; à ma droite, Bran, qui ne veut plus aimer.
Ils ont un ou des parents dysfonctionnels.
Elle est complexée, pas sûre d'elle (typique ; alors que la soeur disparue était extra-ordinaire), il est beau, riche (du moins ses parents le sont mais il refuse leur argent), surfeur (donc musclé), intelligent et bien sûr cache un coeur tendre derrière une façade cynique et sarcastique (alors qu'il traite toutes les autres filles comme de la crotte).
J'ai eu du mal à trouver Bran sympathique, je dois l'avouer, malgré son engagement écologique.
Bon, je ne vais pas en rajouter, vu que j'ai lu le roman jusqu'au bout sans trop me forcer .
C'est mélodramatique, plein d'attendus (et quelques petites incohérences), de fausse tension sexuelle.
Il n'y a que le cadre de l'Australie de carte postale qui vaut le détour : ça fait touristique, exotique mais cela dépayse.
Comme beaucoup de romans littérature jeunesse/jeune adulte actuelle, la narration se partage entre Bran et Talia (surtout elle, pour renforcer l'identification de la lectrice, public cible).
Cela permet de suivre l'intrigue selon des angles différents mais ce procédé généralement efficace m'a moyennement convaincue dans ce cas-ci.
Les seuls aspects un peu plaisants qui ont retenu mon attention : les quiproquos langagiers entre l'australien et l'américain (certains mots ne veulent pas dire la même chose) et la mère de Talia horrible et ridicule dans sa crise existentielle.
Et peut-être également une présentation plutôt crédible des Toc de la protagoniste principale.
Bref, une énième romance avec un peu de sexe pour épicer (ou pas) la fadeur de l'intrigue.
Deux étoiles.
A partir de 15-16 ans
Mon résumé semble niais et cliché. J'ai trouvé le roman niais et cliché : à ma gauche, Natalia, pauvre petite fille riche qui ne se remet pas de la perte de sa soeur ; à ma droite, Bran, qui ne veut plus aimer.
Ils ont un ou des parents dysfonctionnels.
Elle est complexée, pas sûre d'elle (typique ; alors que la soeur disparue était extra-ordinaire), il est beau, riche (du moins ses parents le sont mais il refuse leur argent), surfeur (donc musclé), intelligent et bien sûr cache un coeur tendre derrière une façade cynique et sarcastique (alors qu'il traite toutes les autres filles comme de la crotte).
J'ai eu du mal à trouver Bran sympathique, je dois l'avouer, malgré son engagement écologique.
Bon, je ne vais pas en rajouter, vu que j'ai lu le roman jusqu'au bout sans trop me forcer .
C'est mélodramatique, plein d'attendus (et quelques petites incohérences), de fausse tension sexuelle.
Il n'y a que le cadre de l'Australie de carte postale qui vaut le détour : ça fait touristique, exotique mais cela dépayse.
Comme beaucoup de romans littérature jeunesse/jeune adulte actuelle, la narration se partage entre Bran et Talia (surtout elle, pour renforcer l'identification de la lectrice, public cible).
Cela permet de suivre l'intrigue selon des angles différents mais ce procédé généralement efficace m'a moyennement convaincue dans ce cas-ci.
Les seuls aspects un peu plaisants qui ont retenu mon attention : les quiproquos langagiers entre l'australien et l'américain (certains mots ne veulent pas dire la même chose) et la mère de Talia horrible et ridicule dans sa crise existentielle.
Et peut-être également une présentation plutôt crédible des Toc de la protagoniste principale.
Bref, une énième romance avec un peu de sexe pour épicer (ou pas) la fadeur de l'intrigue.
Deux étoiles.
A partir de 15-16 ans
