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Critique de Luria
Partir-revenir (« Voyageur sans bagage, j'étais parti un jour , laissant un livre ouvert et des pas dans la neige»)
Avant le contenu je voudrais juste m'arrêter sur le livre lui-même, car tourner les pages d'un bel objet c'est aussi un des rares et très bon plaisir de la lecture. le papier épais est crémeux juste ce qu'il faut. La couverture sobre, page unie, rouge, du rouge du sceau du drapeau d'Algérie. le marque page, glissé au milieu, rappelle le drapeau et la couleur. Un petit bonheur à lire.
J'ai un grand faible pour les romans polyphoniques, aussi ce roman m'a plu pour ses trois voix. L'écriture est fluide, belle, on le lit très vite. Je lui trouve cependant le même reproche que le dernier du style que j'avais lu, Royaume de vent et de colère de Jean-Laurent del Socorro, une trame très mince, ni originale, à peine esquissée. L'union des voix fait la force. Alors pourquoi les faire taire ?
(Merci Babelio et Les éditions Noir sur Blanc pour cette sympathique découverte.)
Avant le contenu je voudrais juste m'arrêter sur le livre lui-même, car tourner les pages d'un bel objet c'est aussi un des rares et très bon plaisir de la lecture. le papier épais est crémeux juste ce qu'il faut. La couverture sobre, page unie, rouge, du rouge du sceau du drapeau d'Algérie. le marque page, glissé au milieu, rappelle le drapeau et la couleur. Un petit bonheur à lire.
J'ai un grand faible pour les romans polyphoniques, aussi ce roman m'a plu pour ses trois voix. L'écriture est fluide, belle, on le lit très vite. Je lui trouve cependant le même reproche que le dernier du style que j'avais lu, Royaume de vent et de colère de Jean-Laurent del Socorro, une trame très mince, ni originale, à peine esquissée. L'union des voix fait la force. Alors pourquoi les faire taire ?
(Merci Babelio et Les éditions Noir sur Blanc pour cette sympathique découverte.)
