On en parle beaucoup c'est dernier temps surtout Trump avec ses "Fake News" car il semble oublié qu'ils n'ont de compte à rendre qu'à la population américaine et non le président. Mais lui, n'a pas compris juste qu'il fouiille dans ces squelettes dans son placard lui doit n'avoir pas mal de planquer alors vous imaginez juste avec les deux actrices porno avant 2006 et maintenant l'ingérence russe. À force qui crier au loup, le Président Trump aura bientôt à rendre des comptes. Durant ma petite lecture, on apprend que le Canada n'arrache u n peu niveau informations pour les journalistes en générale tout les moyens sont bons pour les empêcher de trouver nos bibittes à nos gentils politiciens. Et que le Québec est loin derrière l'accès à l'information comme si c'était une surprise encore plus que cela dégénère depuis maintenant vingt ans. Que Terre-Neuve est celle qui permet un meilleur à l'accès à l'information. J'ai appris aussi, que les représentants du Québec ne devrait pas se rendre en Chine pour parler démocratie car nous en voyons l'exemple avec le ministre Couillard car sous son gouvernement il a oublié sa fameuse transparence. Peut-être l'a-t-il perdu sur la muraille de Chine c'est-on jamais. Livre pour son contenu des plus actuel, il date seulement de 2015.
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La liberté de la presse n'est jamais acquise, sauf bien entendu pour ce qui ne dérange pas les pouvoirs en place. Or, c'est dans les zones limites, les zones plus difficiles de la contreverse, des discours dérangeants, des discours marginaux, choquants même, que nos convictions sont mises à l'épreuve. C'est là, dans la collision parfois douleureuse des idées impopulaires, dans les excès et les terrains minés, qu'elle est nécessaire.
Après le 11 septembre 2001 aux États-Unis, 53 % des Américains sondés appuyaient la censure gouvernementale dans les médias contre 39 % qui tenaient à la liberté de presse. Il a fallu attendre cinq ans, jusqu'en février 2006, pour que la cote de popularité de la liberté de presse remonte et que les citoyens favorisent de nouveau celle-ci à 56 % contre 34 % pour la censure, des données qui n'en restent pas moins troublantes.
Une disposition folklorique du Code criminel interdit de publier une histoire illustrée du crime. Celle-ci est définie comme la publication par un magazine d'une matière qui représente au moyen d'illustratiion "a) soit la perpétration de crimes, réels ou fictifs; b) soit des événements se rattachant à la perpétration de crimes, réels ou fictifs , qui ont lieu avant et après la perpétration du crime. La pubiication de matériel obscène est également prohibée, dans les deux cas, il est possible d'invoquer en défense que la publication a servi le bien public.
En principe toute personne en désaccord avec une information qu'elle juge fausse ou trompeuse peut porter plainte contre la radio qui l'a émise, l'obligeant à se défendre à grands frais pour prouver la véracité de ses nouvelles.
Elles varient selon les époques, les lieux et les médias. Elles ont un caractère moral et déontologique, sauf dans le cas où elles font partie du contrat de travail des journalistes d'un média particulier.