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Critique de steka


Cet ouvrage de Floréal Romero est avant tout un outil pratique ouvrant de nombreuses pistes pour en finir avec les logiques mortifères du capitalisme.. Beaucoup y reconnaîtront ce qu'ils tentent déjà de mettre en place plus ou moins isolément mais ce qui est proposé ici est bien un pas en avant qui permettrait d'aller au-delà de cet isolement et de ses limites intrinsèques.
"Avec nos pratiques sociales, nous devons à notre tour ronger le pouvoir du capitalisme en occupant l'espace de nos alternatives concrètes, en construisant ainsi en parallèle un nouveau monde."
"Le principe transversal du communalisme, comme principe constituant des communs qui s'instituent en commun , vise la construction d'une société non prédatrice et qui s'inscrirait dans la logique du vivant. Elle apparaît ainsi comme une réponse positive à celles et ceux qui voient comment cette société prise en otage par le capitalisme se dissout, tout autant qu'elle dissout les racines et le bien commun."
Dans le catastrophisme ambiant, les démarches constructives se tournant résolument contre le capitalisme et sa fatalité ne sont pas si nombreuses. C'est pourquoi j'invite tous ceux qui placent encore quelque espoir en notre devenir commun à découvrir ce petit livre et à penser quel usage il serait possible d'en faire.
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