Cette maison où je suis née, cette maison où j’ai grandi, cette maison où j’ai pleuré mes parents, cette maison dans laquelle j’ai voulu mon bonheur, celle dans laquelle il y a tout mon malheur. C’est affreux d’en arriver là. Ce symbole familial, ma maison, qui est devenu petit à petit le lieu de mes pires cauchemars, ceux que l’on ne peut décrire à personne. Je retourne dans cet endroit même où je m’étais promise ne plus jamais revenir. Je reviens voir celui que j’ai tant aimé avant de le haïr et dont je pensais pouvoir me libérer. Il n’y a qu’une vérité à tout cela. L’Amour. Ce sentiment profond, d’appartenance, ce sentiment profond de ressemblance, ce sentiment profond de dépendance. L’Amour…
« Un sourire montre le bonheur et cache aussi le malheur. C’est une arme fatale qui peut tromper tout en étant sincère. Mais usez-en, car il guérit un grand nombre de blessures. »