Les mots sont des fenêtres (ou bien ce sont des murs)

Il ne suffit pas de devenir une superpuissance en construisant un arsenal capable de détruire plusieurs fois la Terre ; ni d'assujettir le reste du monde par notre puissance militaire, car la paix ne peux se fonder sur la peur.

La non-violence n'est pas une stratégie que nous pouvons utiliser un jour et laisser de coté le lendemain, pas plus qu'elle ne fait de nous des agneaux ou des mauviettes.

Comment pouvons-nous éteindre un incendie si nous ne coupons pas d'abord la source qui l'alimente la flamme ?

C'est la violence passive qui alimente le feu de la violence physique.

Vivre dans un monde où des milliers d'ogives nucléaires sont dirigées vers l'ennemi et où le terrorisme est un acte religieux acceptable, c'est devenu la norme, mais ce n'est pas normal pour autant.

La récompense, c'est d'arriver à devenir qui nous sommes vraiment.

La conscience désintéressée est l'état dans lequel nous sommes lorsque la nature, l'art ou la musique suscitent notre émerveillement.

Quelle gratification peut-on espérer si l'on débranche l'ego, dont la seule motivation est la recherche de gratification ?

L'agression fait partie intégrante du fonctionnement de l'ego, qui est entièrement centré sur- je, moi et le mien - chaque fois qu'un conflit se déclare.

Même les meilleurs histoires contribuent à la violence.