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Critique de tifrey
Ce fut douloureux et fastidieux. J'imagine que je peux comprendre l'intérêt qu'ont les gens pour cette oeuvre mais.... mais... quoi la baise.
On reste dans les thèmes de prédilection de Roth ; un juif américain avec un pénis et sa fascination pour celui-ci. L'idée de départ est assez simple, Portnoy sur le divan de son psy qui lui parle de sa mère castratrice et de sa découverte de la masturbation, puis du sexe. Et c'est ainsi qu'on tourne en rond sur sa mère et sa fascination pour tout le système digestif (de l'origine de la nourriture jusqu'au trou de fesses de son fils), de son fils qui se masturbe à tous les endroits où il peut, jusque dans la nourriture, aux descriptions crues de ses fantasmes et du fait que le personnage est obnubilé par ça et ne réussit pas de son enfance à ses 30+ à penser à autre chose.
On reste dans les thèmes de prédilection de Roth ; un juif américain avec un pénis et sa fascination pour celui-ci. L'idée de départ est assez simple, Portnoy sur le divan de son psy qui lui parle de sa mère castratrice et de sa découverte de la masturbation, puis du sexe. Et c'est ainsi qu'on tourne en rond sur sa mère et sa fascination pour tout le système digestif (de l'origine de la nourriture jusqu'au trou de fesses de son fils), de son fils qui se masturbe à tous les endroits où il peut, jusque dans la nourriture, aux descriptions crues de ses fantasmes et du fait que le personnage est obnubilé par ça et ne réussit pas de son enfance à ses 30+ à penser à autre chose.
