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Critique de carafedersan
J'ai découvert la bande dessinée Alisik car on m'a offert le premier tome.
La couverture m'a tout de suite fait flasher, je l'ai trouvé incroyable. Et quand j'ai feuilleté les pages, j'ai immédiatement voulu la lire tant les planches sont belles. L'histoire aussi avait l'air sympa.
Alisik, c'est l'histoire d'une adolescente morte dont le fantôme reste coincé dans un cimetière en compagnie d'une joyeuse bande de cinq défunts, tous très attachants. Ils attendent, coincés dans le monde des vivants, que M. Morrt se décide à les envoyer vers l'ombre ou la lumière. Alors, ils jouent aux cartes et passent le temps comme ils peuvent.
Au début, Alisik ne parvient pas à se souvenir de sa mort, qui va lui revenir par bribes tout au long des quatre tomes. le suspens reste entier jusqu'à la fin qu'on ne voit pas venir. Et nous en apprenons plus sur la vie de chacun des personnages au fur et à mesure de l'avancée de l'histoire.
Nous vivons dans ce premier tome le début de la romance d'Alisik avec un jeune homme de son âge (vivant), devenu aveugle il y a peu, qui promène son chien le soir près du cimetière. Il a la faculté d'entendre les morts et, quand leurs chemins se croisent, ils se lient d'amitié. Il lui confie ce qui lui est arrivé et Alisik va l'aider à élucider son histoire.
Avec tous les personnages, il y a des scènes aussi drôles que tristes et des intrigues à suivre, dont celle de la démolition prévue du cimetière. Les Post Mortem, comme ils sont appelés, feront tout pour l'empêcher.
Les planches sont magnifiques. Tout est bien pensé, jusqu'à la couleur de fond des bulles, différente selon qui parle (blanche pour les vivants, noire pour les morts).
Les pages annonçant les chapitres sont de superbes illustrations.
On trouve aussi en début de chapitre (ou intercalée entre les planches) une page de texte : soit une explication des règles appliquées aux Post Mortem, soit de courts textes poétiques, ou encore des pensées d'Alisik (un peu comme son journal intime), ainsi que ses j'aime et je déteste (qui évoluent à chaque tome).
Le style graphique est incroyable, j'ai trouvé les dessins vraiment chouettes.
Les couvertures donnent envie d'être mises en valeur une fois les B.D. lues. Dessus, des éléments transparents en relief sont visibles à la lumière et super doux au toucher.
Le travail est très soigné par l'auteur et l'illustrateur, j'ai vraiment aimé me plonger dans cette histoire haute en couleur (même si l'atmosphère reste sombre), chaque tome ayant une palette en fonction de sa saison.
Si j'ai pris le temps de lire le premier tome sur deux jours, quand j'ai pris les trois autres tomes, je les ai dévorés.
Du surnaturel avec les gentils fantômes, de l'aventure à laquelle on accroche, de la romance toute choupinou… Alisik est une magnifique B.D. que je vous conseille fortement. J'ai ri, j'ai été émue, j'ai même versé ma larmichette.
Comme nous avons le fin mot de toutes les intrigues seulement dans le dernier tome, ça me donne envie de les relire pour tout raccorder.
La couverture m'a tout de suite fait flasher, je l'ai trouvé incroyable. Et quand j'ai feuilleté les pages, j'ai immédiatement voulu la lire tant les planches sont belles. L'histoire aussi avait l'air sympa.
Alisik, c'est l'histoire d'une adolescente morte dont le fantôme reste coincé dans un cimetière en compagnie d'une joyeuse bande de cinq défunts, tous très attachants. Ils attendent, coincés dans le monde des vivants, que M. Morrt se décide à les envoyer vers l'ombre ou la lumière. Alors, ils jouent aux cartes et passent le temps comme ils peuvent.
Au début, Alisik ne parvient pas à se souvenir de sa mort, qui va lui revenir par bribes tout au long des quatre tomes. le suspens reste entier jusqu'à la fin qu'on ne voit pas venir. Et nous en apprenons plus sur la vie de chacun des personnages au fur et à mesure de l'avancée de l'histoire.
Nous vivons dans ce premier tome le début de la romance d'Alisik avec un jeune homme de son âge (vivant), devenu aveugle il y a peu, qui promène son chien le soir près du cimetière. Il a la faculté d'entendre les morts et, quand leurs chemins se croisent, ils se lient d'amitié. Il lui confie ce qui lui est arrivé et Alisik va l'aider à élucider son histoire.
Avec tous les personnages, il y a des scènes aussi drôles que tristes et des intrigues à suivre, dont celle de la démolition prévue du cimetière. Les Post Mortem, comme ils sont appelés, feront tout pour l'empêcher.
Les planches sont magnifiques. Tout est bien pensé, jusqu'à la couleur de fond des bulles, différente selon qui parle (blanche pour les vivants, noire pour les morts).
Les pages annonçant les chapitres sont de superbes illustrations.
On trouve aussi en début de chapitre (ou intercalée entre les planches) une page de texte : soit une explication des règles appliquées aux Post Mortem, soit de courts textes poétiques, ou encore des pensées d'Alisik (un peu comme son journal intime), ainsi que ses j'aime et je déteste (qui évoluent à chaque tome).
Le style graphique est incroyable, j'ai trouvé les dessins vraiment chouettes.
Les couvertures donnent envie d'être mises en valeur une fois les B.D. lues. Dessus, des éléments transparents en relief sont visibles à la lumière et super doux au toucher.
Le travail est très soigné par l'auteur et l'illustrateur, j'ai vraiment aimé me plonger dans cette histoire haute en couleur (même si l'atmosphère reste sombre), chaque tome ayant une palette en fonction de sa saison.
Si j'ai pris le temps de lire le premier tome sur deux jours, quand j'ai pris les trois autres tomes, je les ai dévorés.
Du surnaturel avec les gentils fantômes, de l'aventure à laquelle on accroche, de la romance toute choupinou… Alisik est une magnifique B.D. que je vous conseille fortement. J'ai ri, j'ai été émue, j'ai même versé ma larmichette.
Comme nous avons le fin mot de toutes les intrigues seulement dans le dernier tome, ça me donne envie de les relire pour tout raccorder.
