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Critique de Meygisan
Ce livre m'a plu d'emblée, dès les premières pages, les premiers chapitres. L'accroche a été immédiate, j'y ai trouvé plein de choses que j'aime trouvé dans un bon roman de fantasy.
Tout d'abord les personnages et leur formation qui articulent la première partie du roman qui se veut initiative, dans tous les sens du terme. Mais Anthony Ryan ne tombent pas dans les écueils haibutels du genre. En effet, on s'attache vite et fort à ses jeunes qui se forment ensemble, qui transpirent, qui rient, qui en souffrent grave face aux épreuves qui leur sont imposées. Et c'est bien au delà du récit initiatique que l'auteur construit son roman et son univers. C'est bien dans l'exemplaire et indéfectible amitié qui se construit petit à petit mais sûrement, qui va lier les héros.
Dans cette première partie, on pourrait même souligner l'absence de héros. Bien entendu, on nous rappelle par ci par là que Vaelin al Sorna est le personnage principal, quelques indices sont disséminés de ci de là, sans qu'on comprenne forcément où cela mène ( mais patience, chaque chose est a sa place dans cette histoire) mais l'accent est mis avant tout sur son groupe. Quand on lira les dernièrs chapitres, et les rebondissements qui y sont révélés, on prendra alors toute la mesure et la portée de l'importance de cette amitié, et l'on comprendra pourquoi l'auteur s'y est tant attardé.
C'est également en cela que le roman est bien construit car toute question trouvera sa réponse. Tout indice, qu'il soit vrai ou faux, mènera à une certitude.
J'ai beaucoup apprécié la narration choisie par l'auteur, ponctuée de falshback et de flashforward. Celle ci permet de prendre la mesure de la compléxité du scénario et de l'histoire dans sa globalité.
En effet, la seconde partie du roman va accentué le côté guerrier du personnage principal. Il est désormais une figure reconnue de son ordre, il a grandi et commence à se forger une réputation solide, son héritage paternel aidant. Il participe plus qu'activement aux conflits du royaume, aux intrigues internes, et découvre peu à peu sa place dans l'écheveau global, au même titre que le lecteur. le récit se met en place, lentement mais sûrement ( dans la première partie, on était en droit de se demander où l'auteru nous emmenait). Des évènements importants vont ponctuer sa vie et orienter défintivement de ses choix. L'auteur s'attarde, dans une certaine mesure, sur les psychologies de ces personnages, laissant apparaître des personnalités complexes, intéressantes. Dans la seconde partie du bouquin, cet aspect est laissé légèrement en retrait au profit des conflits et des intrigues et j'ai trouvé cela dommage, car du coup, on a l'impression d'un changement de style ou de ton, qui peut déstabiliser le lecteur. On a réellement le sentiment d'une coupure mais l'auteur montre sa maîtrise car tout s'explique en fin de volume. Et laisse présager d'un tome 2 tonitruant.
Bref, en ce qui me concerne, il s'agit d'un excellent premier roman, une belle découverte qui me mènera sdans aucun doute jusqu'au bout de la trilogie, et sans doute même dans la lecture des nouvelles qui y sont attachées.
Tout d'abord les personnages et leur formation qui articulent la première partie du roman qui se veut initiative, dans tous les sens du terme. Mais Anthony Ryan ne tombent pas dans les écueils haibutels du genre. En effet, on s'attache vite et fort à ses jeunes qui se forment ensemble, qui transpirent, qui rient, qui en souffrent grave face aux épreuves qui leur sont imposées. Et c'est bien au delà du récit initiatique que l'auteur construit son roman et son univers. C'est bien dans l'exemplaire et indéfectible amitié qui se construit petit à petit mais sûrement, qui va lier les héros.
Dans cette première partie, on pourrait même souligner l'absence de héros. Bien entendu, on nous rappelle par ci par là que Vaelin al Sorna est le personnage principal, quelques indices sont disséminés de ci de là, sans qu'on comprenne forcément où cela mène ( mais patience, chaque chose est a sa place dans cette histoire) mais l'accent est mis avant tout sur son groupe. Quand on lira les dernièrs chapitres, et les rebondissements qui y sont révélés, on prendra alors toute la mesure et la portée de l'importance de cette amitié, et l'on comprendra pourquoi l'auteur s'y est tant attardé.
C'est également en cela que le roman est bien construit car toute question trouvera sa réponse. Tout indice, qu'il soit vrai ou faux, mènera à une certitude.
J'ai beaucoup apprécié la narration choisie par l'auteur, ponctuée de falshback et de flashforward. Celle ci permet de prendre la mesure de la compléxité du scénario et de l'histoire dans sa globalité.
En effet, la seconde partie du roman va accentué le côté guerrier du personnage principal. Il est désormais une figure reconnue de son ordre, il a grandi et commence à se forger une réputation solide, son héritage paternel aidant. Il participe plus qu'activement aux conflits du royaume, aux intrigues internes, et découvre peu à peu sa place dans l'écheveau global, au même titre que le lecteur. le récit se met en place, lentement mais sûrement ( dans la première partie, on était en droit de se demander où l'auteru nous emmenait). Des évènements importants vont ponctuer sa vie et orienter défintivement de ses choix. L'auteur s'attarde, dans une certaine mesure, sur les psychologies de ces personnages, laissant apparaître des personnalités complexes, intéressantes. Dans la seconde partie du bouquin, cet aspect est laissé légèrement en retrait au profit des conflits et des intrigues et j'ai trouvé cela dommage, car du coup, on a l'impression d'un changement de style ou de ton, qui peut déstabiliser le lecteur. On a réellement le sentiment d'une coupure mais l'auteur montre sa maîtrise car tout s'explique en fin de volume. Et laisse présager d'un tome 2 tonitruant.
Bref, en ce qui me concerne, il s'agit d'un excellent premier roman, une belle découverte qui me mènera sdans aucun doute jusqu'au bout de la trilogie, et sans doute même dans la lecture des nouvelles qui y sont attachées.
