Des tranches de vie, acides parfois comme un cédrat, qui nous font découvrir les idoles excessives de la non-moins excessive
Sagan.
Elle nous rapporte son intimité avec des personnages iconiques de la culture, son admiration pour leur personnalité d'exception. Entre le récit de ces rencontres,
Sagan nous délivre ses passions (vitesse, jeu, théâtre, lecture...) avec sa soif incommensurable de croquer l'existence dans la conscience de sa finitude.
Saga qui nous dira "Il n'y a qu'un vrai silence : celui de la mort".
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