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Critique de Mladoria
Le premier livre de Sagan que je lis (enfin que j'écoute).
Histoire d'une passion. Un vieil homme riche et éperduement désireux de rendre heureuse une trentenaire indécise, perpétuellement insatisfaite. Un jour, arrive un jeune premier en quête de bonheurs simples et de projets d'avenir avec la fuyante et insaisissable Lucile.
La voix ronde et chuintante de Sara Forestier donne à ce récit toute la tristesse et la mélancolie qui le sert si bien.
Je me suis attachée à ces personnages ambivalents et nuancés même si je ne les ai pas toujours compris. Sans avoir de réelle ambition dans la vie que le simple fait de la vivre du mieux possible, le bonheur et la liberté selon Lucile ont pour moi la saveur douce -amère de la joie évanescente, de l'éphémère. Un prix bien trop lourd à payer pour la solitude et l'hypocrisie du monde guindé et faux où elle choisit d'établir son cocon.
Histoire d'une passion. Un vieil homme riche et éperduement désireux de rendre heureuse une trentenaire indécise, perpétuellement insatisfaite. Un jour, arrive un jeune premier en quête de bonheurs simples et de projets d'avenir avec la fuyante et insaisissable Lucile.
La voix ronde et chuintante de Sara Forestier donne à ce récit toute la tristesse et la mélancolie qui le sert si bien.
Je me suis attachée à ces personnages ambivalents et nuancés même si je ne les ai pas toujours compris. Sans avoir de réelle ambition dans la vie que le simple fait de la vivre du mieux possible, le bonheur et la liberté selon Lucile ont pour moi la saveur douce -amère de la joie évanescente, de l'éphémère. Un prix bien trop lourd à payer pour la solitude et l'hypocrisie du monde guindé et faux où elle choisit d'établir son cocon.
