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J'ai vraiment beaucoup aimé ce premier tome qui questionne nos envies, nos talents, les efforts qui ne sont pas forcément toujours récompensés.
Le fait d'avoir une mauvaise image qui brise tout le reste.
Le dessin est assez particulier, mais l'histoire prend aux tripes, et à la fin on a juste hâte de lire la suite !
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Avis pour toute la saga : pour commencer ce mois de #marsauféminin, j'ai décidée de venir vous parler de la saga mangas « le chant des souliers rouges » que j'ai croisé au hasard d'instagram et que je suis très contente d'avoir découverte.
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Pourquoi cette saga pour ce premier jour ? Parce qu'elle véhicule un de mes principes : pour moi il n'y a pas de cases prédéfinies pour les choses, il n'y a pas qu'une seule façon de voir les choses , notre éducation a trop longtemps donné des genres ou continue de vouloir nous faire rentrer dans des moules, je suis totalement contre cette idée : dans mon esprit les couleurs n'ont pas de genre, les amours sont libres, les différences font notre force et pas l'inverse. La femme ou l'homme n'ont pas a être catalogués par des idées totalement humiliantes.
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J'ai donc retrouver ce message dans cette saga, puisque nous allons faire la connaissance de deux lycéens, Kimikata, un jeune homme qui pratique le basket, et Takara, une jeune fille qui pratique le flamenco. Tous les deux vont vivre des déboires dans leur discipline, au hasard d'un pont ils vont se retrouver face à face et vouloir se débarrasser de leurs souliers respectifs. Ces souliers renferment une histoire et des espoirs. Ils ne peuvent pas se résoudre à les jeter alors ils décident de se les échanger. Au fil des pages on va découvrir les aventures de ces deux lycéens dans leurs nouvelles chaussures.
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Amitié, différence, passion, sport, entraide...Une saga en 6 tomes que je recommande fortement.
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C'est un manga délicat, qui nous arrache un peu le coeur face à l'histoire maussade de nos héros. Un message fort derrière ces quelques dessins, celui de reprendre confiance en soi et de ne pas baisser les bras malgré les épreuves de la vie.
Lien : https://leschroniquesdemaeco..
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Malgré de nombreux thèmes importants qui semblent être abordés dans cette histoire (comme le harcèlement scolaire, la recherche d'un sens à sa vie, l'importance d'une passion et le fait de s'ouvrir au monde), je suis totalement passée à côté de cette histoire qui ne m'a absolument pas atteinte. le texte pas assez étoffé ne fournit pas les éléments nécessaires pour bien comprendre les choses, pour en identifier d'autres ou pour ne pas rendre les choses trop simples et faciles.
Lien : http://blogleslecturesduchat..
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bien que je pense m'acheter la suite parce que j'ai bien aimé l'histoire, je trouve qu'il n'y a pas vraiment d'action.
Lien : https://litteralementvotrebl..
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Comme avec Un bus qui passe, j'ai beaucoup aimé ce nouveau titre de Mizu Sahara. Son trait est très poétique. J'aime l'ambiance si particulière du titre, morose au début, plein d'espoir à la fin. C'est intéressant de voir Kimitaka essayer de se reprendre grâce à sa rencontre avec Takara. Ses relations avec sa famille sont très touchantes. Sa soeur et sa mère sont deux très belles personnes.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Je découvre le crayon de Mizu Sahara grâce à la dernière masse critique où j'ai pu recevoir le chant des souliers. La mangaka n'est pas à son premier coup d'essai chez Kaze puisqu'en 2010, l'éditeur publie My girl, une série mélodramatique qui se veut bienveillante. Avec le chant des souliers rouges, Mizu Sahara s'attaque à un tout autre sujet, la confiance en soi et la passion, ici sportive.

Kimitaka était un très bon joueur de basket plus jeune, mais ses années de collège vont bouleverser ce qui lui semblait acquis. Il stagne dans son jeu et sa petite taille ne l'aide pas contre ses adversaires. Assez vite, d'autres joueurs, au départ débutant au basket, vont le surpasser, ce qui n'est pas du goût de Kimitaka. Un drame va lui faire raccrocher ses baskets.
De l'autre côté, Takara est une grande perche, aux longues mains et aux grand pieds qui rêve d'avoir l'élégance d'une danseuse de Flamenco. Si elle tente de se faire discrète et de se tasser pour paraître plus petite, elle ne gagne pas plus en grâce lorsqu'elle danse.
Ses deux collégiens vont se retrouver sur le toit de leur collège, chacun décidant de se débarrasser d'une partie d'eux même, Kimitaka, ses baskets rouges et Takara, ses chaussures de Flamenco rouges. Pourtant, au lieu de jeter tout ce en quoi ils rêvaient, ils vont s'échanger leurs paires de chaussures et changer leurs vies par la même occasion.

D'emblée, je n'étais pas une grande fan du dessin de couverture, malgré tout, ce manga m'a attiré par son histoire que j'ai trouvée. originale. Finalement, le style m'a conquise, je l'ai trouvé adapté à l'histoire, fluide et nuancé, donnant vie à des personnages tristes et effacés, mais aussi joyeux et gentil.

Tout d'abord, je lis assez peu de manga dans ce genre dramatique, contemporain avec des garçons en personnages principaux où il n'est pas question d'une histoire d'amour mièvre et dégoulinante. Ici Kimitaka est assez antipathique au premier abord, froid et sombre, on découvre un collégien compétiteur et mauvais perdant. Il avait tout misé sur le basket sans penser qu'un jour son corps ne suivrait pas le mouvement. Dépasser par sa passion, Kimitaka va commettre le geste de trop et sombrer dans la dépression. A ce moment, le garçon attise notre curiosité, il se retrouve dans un lycée à deux heures de chez lui, ne veut se lier à personne et manque cruellement de confiance en lui.

Des flashbacks permettent de comprendre comment Kimitaka en est arrivé là. On rencontre plusieurs Takara, la collégienne qui lui a donné ses chaussures de Flamenco, mais on ne sait pas exactement ce qu'ils se sont dit. Si cette rencontre a changé la vie de Takara, Kimitaka lui reste égale à lui-même. le basket était comme une définition de lui-même et ne plus y jouer, ne plus y trouver sa place, le rend taciturne.

Ce premier tome nous présente Kimitaka, un lycéen mélancolique en quête d'identité. On le découvre sous des aspects peu flatteur, violent et agressif, mais aussi, plus humain, emprunt de culpabilité et de doutes. Mizu Sahara nous décrit un personnage tout en contraste qui voit gravité autour de lui d'autres personnages complexes.

En fin de compte on en sait assez peu sur Takara qui apparaît brièvement pour expliquer certains choix de Kimitaka. La série se déroule en six tomes, j'espère la revoir et en savoir plus sur elle. D'une certaine façon, elle est comme un miroir du lycéen, chacun essayant de trouver sa place.

Le chant des souliers rouges m'a convaincu en quelques pages. L'intrigue est intéressante, les personnages émouvants et le coup de crayon plaisant. Une recette qui fonctionne bien et donne envie d'en savoir plus!
Lien : https://lapucealoreilleblog...
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Jolie découverte grâce à Masse critique de Babelio.
Kimitaka est un lycée qui n'a plus goût à rien et vit avec son grand père gâteux et sa mère (son père et sa soeur vivent dans une autre ville) mais son lycée est à 2h de trajet. Petit à petit les fils vont se dénouer et à l'aide de flash back l'auteure nous dévoile petit à petit l'histoire de Kimitaka, sa rencontre, qui va tout changer avec Takara, sa passion pour le basket et sa découverte du flamenco.
C'est original, parfois déroutant mais en tout cas vraiment touchant.
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Kimitaka est un jeune lycéen qui apprécie la solitude. Il refuse le contact avec les autres, préférant s'isoler et rester seul dans son coin. Pour quelle raison ? Au collège, il a fait subir une sorte de harcèlement à ses camarades, et cela s'est retourné contre lui. Depuis, il essaye de se reconstruire. Cette reconstruction passe par Takara, jeune fille qui souhaite devenir danseuse de flamenco mais ne le peut pas. Kimitaka souhaite, lui, devenir basketteur. Cette rencontre va les faire changer tous les deux. le début d'une nouvelle vie pour Kimitaka ?

Je découvre l'auteur Mizu Sahara avec la série le Chant des Souliers Rouges. C'est une auteur connue pour ses séries de manga Un Bus passe… et My Girl. Elle porte toutefois d'autres pseudos, selon si ses oeuvres sont des shojos, des boys love ou des récits doujinshi.

Ce sont donc des personnages avec des personnalités très différentes que nous présente là l'auteur. Kimitaka est déprimé, et cela se voit sur son visage. Il essaye toujours de ne pas faire de vagues, se cache derrière ses cheveux, bref, il préfère être discret pour éviter les problèmes et le contact avec les autres.
Takara, que l'on ne voit que très peu au final, est un personnage qui n'a pas confiance en elle. Grande et maigre, elle est regardée de travers et n'a pas d'amie. Mais la rencontre entre Takara et Kimitaka va changer la jeune fille : en prenant les baskets du garçon, elle va se forger un nouveau rêve, une nouvelle passion, et trouver sa force dans ses défauts. Kimitaka, quant à lui, ne va pas faire un grand usage des souliers rouges que va lui donner Takara. A moins que…

C'est sans doute ce qui va être l'objet des cinq autres tomes de cette série qu'est le Chant des Souliers Rouges. Comment Kimitaka va réussir à s'en sortir et va essayer de se construire en faisant du flamenco, en faisant face aux difficultés qui lui barrent la route.

C'est avec plaisir que j'ai découvert cette auteur. Dans cette histoire, ce sont les personnages qui comptent. On le voit grâce aux dessins : bien souvent, on n'a que notre personnage avec ses émotions, ou un détail, aucun décor. Emotions qui sont d'ailleurs facilement lisibles grâce aux traits subtils de Mizu Sahara.
Certaines scènes sont pleines d'émotion et on est touché. Dans d'autres, il y a pas mal d'humour, avec notamment le grand-père de Kimitaka qui est très drôle et surtout un peu gâteux.

J'ai déjà commencé à m'accrocher aux personnages, et à cette histoire et son côté un peu psychologique. J'ai hâte de découvrir la suite des évènements… Kimitaka va-t'il réussir à s'en sortir grâce à sa nouvelle passion, le flamenco ? J'espère avoir un élément de réponse dans le second volume !
Lien : https://profiteroleslovesboo..
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