J'ai mal à toi, Petit Prince qui attend un signe de ta belle inconnue. J'ai mal à toi quand tu n'as plus d'autre issue que de dessiner les sentiments aquarellés comme jamais, ta peinture est si fine, si poétique, plus expressive encore que ta plume. Je sais comme il est douloureux d'attendre un signe parfois, et comme il est doux de prendre le stylo, les crayons et puis les pinceaux.
Tu t'es piqué à la rose, sa petite épine si ténue t'a piégé, toi le Petit Prince jardinier qui cultives si bien les belles pensées, et les rêves étoilés.
Dessine-moi un bouton…de rose cette fois.
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