Quand vers l'an 3000, les terriens découvrent accidentellement une espèce de sarcophage sur la lune minière Aldeman, ils ne peuvent bien-sûr pas s'empêcher d'essayer d'ouvrir cette boîte de Pandore...
Parce que la curiosité humaine est insondable... à l'instar de ce mystère que révélera finalement cette châsse apparemment dotée de pouvoirs et entourée de matériaux inconnus.
Comme je suis une humaine toute aussi curieuse, je suis évidemment impatiente de connaître l'origine de cet arcane dans le tome suivant de cette série, prévue en trilogie.
J'avais, au départ, été un peu rebuté par les dessins, certes remarquables, mais très sombres... illuminés quand ils éclairent le sarcophage afin de mieux nous préparer à la découverte de son contenu. Je dois pourtant admettre qu'ils soulignent admirablement l'intrigue.
Un certain mysticisme plane sur l'histoire où l'inexpliqué voisine avec l'horreur dans une ambiance oppressante, or, qu'on ne s'y trompe pas : il s'agit bel et bien de la SF pure et dure.
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Décors de science fiction très léchés, un démarrage façon Alien, rythme intense avec des scènes de différentes époques, différents lieux qui construisent une intrigue solide, c'est très cinématographique, ce premier volume lance parfaitement cette trilogie.
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Lorsque j'ai lu dans la présentation que cette BD était inspirée d'Alien, entres autres, j'ai failli ne pas la lire parce que ce n'est vraiment pas mon truc. Je n'aime pas la SF-horreur, mais bon, je m'y suis mise quand même. Finalement ce ne fut pas une lecture déplaisante, du moins pour le début dont j'ai apprécié l'ambiance onirique.
Par contre l'histoire de cet artefact alien qui contient une femme parfaite surnommée Eve m'a un peu soulée : qu'est-ce que c'est encore que ce mythe de la femme comme créature à la fois parfaite et mauvaise par qui tout le malheur arrive ? Parce que ça va loin quand même : à cause d'elle tout le monde s'entre-tue, ben oui, normal, c'est bien Eve qui a causé la perte de l'humanité, non ? Ou alors c'est pour montrer la bestialité des hommes qui sont incapables de résister à leurs pulsions ? Franchement ce n'est pas mieux.
Côté dessins, je les ai trouvés beaux et mystérieux au début et puis ça change, ils deviennent ultra-réalistes et très centrés sur les humains, beaucoup de gros-plans, presque plus de paysages.
Côté scénario j'ai bien reconnu la méthode de Christophe Bec : plusieurs lieux, plusieurs époques, pas mal de personnages, beaucoup de questions, peu de réponses... A voir comment évolue cette trilogie.
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Des créatures humanoïdes, une technologie inconnue, la découverte d'un artefact alien, des événements inexpliqués à bord d'un vaisseau spatial, un étrange rayon qui traverse la galaxie...
Il n'en faut pas plus pour éveiller mon intérêt et même si ça sent le déjà vu, je m'y risque.
Friand de la plupart des histoires de Bec, qui fait une pause entre 2 tomes de Prométhée, et ayant beaucoup aimé Nova de Jaouen dont j'espère lire la suite, un jour....
C'est donc avec confiance que je me lance dans cette lecture.
L'histoire ne perd pas de temps, le décor (sf pur et dur) est vite planté. Une histoire qui débute à la manière de Carthago d'ailleurs.
Pour les gamers, le scenario prend vite la tournure de dead space et même si l'on devine rapidement ce qu'il en est, une part de mystère subsiste tout de même et ce n'est que du bon.
Dessins réalistes, couleurs sombres, lumières éclatantes, (la couverture en jette, un peu de vert fluo dans ma bibliothèque).
Un premier tome maîtrisé, qui donne envie de lire le suivant.
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Le Sarcophage, premier tome de la série Eternum, est une bonne surprise. C'est une lecture qui vous prend d'entrée et qui ne vous lâche plus. C'est un récit de science fiction qui saura vous faire frissonner !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Attendons de voir la suite pour savoir si les promesses esquissées dans ce volume inaugural se développent dans le sens d’un parti-pris original ou versent dans le kitsch. Quitte ou double.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Des planches impressionnantes et particulièrement soignées.
Lire la critique sur le site : Auracan
C'est juste qu'il y a de la pression là-dessous et qu'il y fait plus noir que dans le trou d'balle d'un hippopotame constipé!... Faudrait pas trop tarder à me sortir de là les gars !
L'amour sans éternité s'appelle angoisse : l'éternité sans amour s'appelle enfer.
Ils vivaient comme les dieux, ils étaient libres d'inquiétudes, de travaux et de souffrances...
La sélection BD des meilleurs titres sortis en avril et mai :
Partie 1 :
-Introduction 00:00
-Les 5 terres Demeus Lor par lewelyn et Guinebaud chez Delcourt 01:05
-Fidji par Cano, Goux et Pinchuk chez Delcourt 03:05
-Le combat ordinaire intégrale de Manu Marcenet chez Dargaud 04:42
-Nero tome 3 des Mamucari chez Dupuis 07:04
-Habemus Bastard de Vallée et Schwartzmann chez Dargaud 08:50
-Once upon a time at the end of the world de Aaron et Tefengki chez Urban 10:52
-Snow angels de Lemire et Jock chez Urban 13:00
-Horizons obliques de Richard blake chez Urban 15:01
-Les nouvelles aventures de Bruce J.Hawker l'oeil du Marais de Puerta et Bec chez Le Lombard 17:04
-Petit Pays de Faye Savoia et Sowa chez Aire Libre 18:53
-La cuisine des Ogres de Vehlmann et Andreae chez Rue de Sevres 21:04
-Le Dieu fauve de Vehlmann et Roger chez Dargaud 23:58
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