Premier des trois opus de la série des John Turner, "
Bois Mort" est porté par l'écriture si particulière de
James Sallis. Pourtant, on peut avoir la sensation de rester quelque peu sur sa faim. Comme si Sallis n'avait pas tout donné. Et c'est le cas. "
Bois mort" s'apprécie d'autant mieux qu'il faut y voir l'ouverture d'un cycle qui ne donne toute sa mesure que parvenu à son douloureux terme. Il serait dommage donc de s'en ternir là et de passer à côté de "
Cripple Creek" et "
Salt River".
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