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Critique de Taraxacum


Ah, Consuelo! Consuelo, cantatrice extraordinaire, veuve d'Albert et de ses visions, entraînée dans le jeu des princes... Prison-forteresse, sociétés secrètes, traîtres, fantômes dynastiques, espoir d'une société meilleure, galimatias religieux (auquel à vrai dire je ne suis pas sûre d'avoir tout compris), Voltaire, Frédéric de Prusse, considérations sur l'âme et la musique (et la nature divine des rouge-gorges)...
Que l'oeuvre de Sand est riche!
Ici, nous sommes dans le tome 2, n'allez pas commencer par celui-ci, attention. Consuelo, jeune bohémienne, après avoir chanté à Venise, fui un amoureux infidèle, échappé aux pièges de souterrains à mécanisme, à des recruteurs de l'armée prussienne, à mille dangers enfin, se retrouve veuve au début de ce volume, et chanteuse à Berlin. Elle n'est pourtant pas au bout de ces peines, et je ne prends pas ça dans le sens romans à l'eau de rose mais dans l'autre acceptation du terme, que la première partie de ses aventures.
Chaque page, ou presque, recèle un trésor, quelques tournures de phrases délicieuses, ou quelques réflexions bien senties.
George Sand était décidément un auteur d'une immense envergure.
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